@oliglesias
Encore merci de développer vos idées sans animosité car lorsqu'on se sent agressé il est difficile de rester stoïque et ne pas céder à la démangeaison de répondre de manière similaire! Du temps perdu !
Issu de Franche-Comté, ancienne province de Charles Quint, je suis plus familier avec l'allemand qu'avec l'espagnol et je le regrette pour vos questions hispaniques.
Comme je l'ai déjà précisé il existe des variations de ces "codons bilitères" interlinguales telles celles de cl franco-anglais, chi italien schl allemand, mais ces variations sont mineures. Llave la clef espagnole porte t-elle dans le trousseau de son signifiant l'équivalence de cl avec « ll » ? Quels mots espagnols comportent ce « ll »?
Si les variations synchroniques interlinguales indo-européennes semblent mineures pour ces codons de deux lettres, il existe des variations plus grandes pour le sens des consonnes qui initient les voyelles ouvertes (CV) avec je le pense une manipulation de l'écriture par le clergé catholique.
Ainsi les deux sens inconscients de la lettre m (dans cette position) en français : matière et onde trouvent souvent leur correspondant anglo-saxon par un m renversé, le w.
Avant de vous donner quelques exemples , il est nécessaire d'ouvrir le débat sur ces lettres qui initient les syllabes ouvertes, non sens.
Lorsque que j'ai eu analysé et décrypté une trentaine de ces couples VC, VV', CC' (je ne les ai pas choisi au hasard selon mon humeur comme certain ici l'imagine, mais je les ai tous étudiés sans exception, de façon systématique), la question se posait pour moi en particulier pour les mots brefs, souvent trilitères, de comprendre à quoi pouvait bien renvoyer la consonne isolée.
Par exemple pour la lettre m : une fois découvert que le couple littéral « ur » portait l'invariance notionnelle inconsciente de limite physique ou de sauvage(rie), comment lire les mots mur, mûr et mer, mère, mare, marre, mot, mort, main, man, mou, mie...
Grâce à la connaissance des sens des couples littéraux, je suis parvenu, petit à petit, exactement comme pour le choix de la bonne pièce dans un puzzle, à déduire par PGCDS que ces lettres isolées possédaient 3 sens. Je ne citerai que les mots mur et mûr car mon message, comme d'habitude, est déjà trop long!
Le codon « ur » posséde deux sens inconscients soit celui de limite physique soit celui de sauvage/sauvagerie.
Ainsi dans le signifiant « mur » du maçon, la lettre m porte le sens de matière (mur = limite physique matérielle), dans le signifiant « mur » du son, m porte le sens d'onde et pour la maturité de l'Homme, qui devrait s'écrire Mûr, M porte le sens de Personne. Le m de main peut porter ces 3 sens avec une métonymie pour la Personne et un peu de magnétisme pour l'onde !
Cet M de personne de Monsieur, Madame, Mademoiselle, Monseigneur, Maire, Mère, Marie ou Messie est conservé en anglais Mister, Miss...
Mais au m minuscule matériel du mur du maçon est substitué le w matériel du wall anglais ou du Wand allemand et au m de l'onde par exemple de la mer correspond le w de l'onde de l'eau water et Wasser. Il en est de même pour certains g français devenant w en anglais pour le même concept, (guerre/war) qui provient peut-être du passage du v latin au g français (vespula à guêpe). Peut-être une loi phonétique ?
J'essaierai de répondre à vos autres questions ce soir car pour moi je sais désormais que tout est motivé dans une langue, mais je reconnais que je n'en avais pas la moindre idée il y a 25 ans et je comprends votre scepticisme.
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme !