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Le forum d'ABC de la langue française

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forum abclf » Messages de P'tit prof

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Sujets de P'tit prof Recherche définie par l’utilisateur

Messages trouvés [ 1 à 50 sur 8 294 ]

1

(67 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Hello, collègue !
Si vous leur expliquiez ce qu'est la voix moyenne en grec ancien on arrêterait de tourner autour du pot !

Quand on lit le poème (plus proche du chant royal que de la ballade) on ne trouve pas de novices dans l'auditoire :

Venez, vous dont l’œil étincelle,
Pour entendre une histoire encor,

Le conteur apostrophe son public pour le mettre en appétit.

Les  bœufs qui passent sont là pour créer l'ambiance espagnole, évoquant es sanfermines de Pampelune.
Les rouges tabliers sont là pour la rime, contrainte oulipienne avant l'heure. Ils sont rouges selon la légende urbaine qui veut que le rouge excite  les bovins.
J'ai écrit contrainte oulipienne : j'y vois la clé de compréhension, placer le couple de rimes assent/liers dans chacun des vingt couplets, c'est là un chef d'œuvre, au sens artisanal du terme.
Victor Hugo mérite bien de la poésie !
(Mon intervention ne vise nullement à contredire les précédentes, simplement apporter un nouvel éclairage.)

3

(67 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Hé oui, s'attendre est un verbe moyen.

Un clin d'œil de Courteline, dans Godefroy :

L'opinion publique, mentalement. ---


Tel, sous l'azur des ciels limpides

Que parcourt le vol des ramiers,

Avril voit les fleurs des pommiers

S'écrouler en neiges rapides.

Tel, nous voyons, émerveillés,

Crouler, à torrent, des lumières!...

Il pleut des Vérités Premières:

Tendons nos rouges tabliers.

5

(67 réponses, dans Réflexions linguistiques)

De la différence entre la voix pronominale et la voix moyenne...

6

(19 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Que vous êtes fatigante, avec votre éternelle blague à trois francs six sous !
Vous devriez varier votre répertoire, ma belle enfant...

7

(19 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Mais pourquoi me mettez-vous au féminin ? Ne savez-vous pas lire ?

8

(19 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Site que j'ai visité, merci, et très incomplet. Quid de l'abbé de Percy, du baron de Fierdrap,du témoin de la partie de quilles au boulet de canon ?
Ou vous n'avez pas vu le téléfilm, ou vous n'avez pas lu le roman pour être dupe de tete arnaque.

9

(19 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Dans l'adaptation télévisée de 1966, Alice Sapritch interprétait Mle de Percy, Jean Sobieski le chevalier des Touches et François Perrot était Monsieur Jacques.
(J'ai oublié les autres et glouglou est muet  leur sujet.)

10

(19 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Cela a glissé sur elle comme l'eau sur les plumes du canard.

11

(19 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Il ne veut pas donner l'image de la fragilité, mais celle de l'invulnérabilité : les couches à cornichons sont à ras du sol, ou peu s'en faut, une trombe ne peut pas leur faire grand mal.

Votre question porte sur les procédés utilisés dans vos citations.
Je vous réponds donc : il s'agit là d'intoxication, par interprétation biaisée des faits. Vieux procédé déjà en usage dans la Grèce antique, connu sous le nom de sophistique.

Pure intoxication.

14

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

... parce que cela ne signifie pas absent de la liste !

... un mal considéré comme commun à l'ensemble des hommes... Jolie définition du machisme, pas vrai ?

B. Au fig.
1. [Le compl. désigne un mal considéré comme commun à l'ensemble des hommes] Qui est préservé de (quelque chose). Aussi échappa-t-elle à la malédiction prononcée contre Ève et sa postérité. Elle est exempte de douleur et de mort (FRANCE, Balth., Fille Lil., 1889, p. 97). Les rois ne sont pas exempts du déplaisir (AUDIBERTI, Mal court, 1947, I, p. 136).
En partic., vieilli. [Le compl. désigne une maladie contagieuse ou très commune] Qui est épargné. Ces deux villages, dans l'exposition favorable du nord, sont exempts des progrès de la fièvre (LATOUCHE, L'HÉRITIER, Lettres amans, 1821, p. 77). Ils avaient beau être solides et flibustiers et petites canailles!... ils étaient pas exempts de bronchite! (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 615).

15

(15 réponses, dans Réflexions linguistiques)

Exempt est le mot propre.
Si vous ne m'en croyez pas, consultez la page exempt du Tlfi

16

(22 réponses, dans Réflexions linguistiques)

glop a écrit:
Lévine a écrit:

Le passage de la tournure impersonnelle à la tournure personnelle est courant en français avec certains adjectifs : il est impossible de le convaincre/il est impossible à convaincre.

Là aussi, j'écrirais volontiers "ils sont impossible à convaincre"

Ce qui s'appelle ménager la chèvre et le chou...

17

(35 réponses, dans Réflexions linguistiques)

... sauf qu'on ne possède pas des torts !

Perceval le Nice...

Petit coucou à une commune de l(Oise :

]Thieux signifie « germanique » ou « allemand » en ancien français15, « celui de langue germanique ».

20

(101 réponses, dans Le français et les autres langues)

Au at anglais, préférons le ad latin  : vae Britannos

To elope ?
Écoutons Sganarelle du Médecin malgré lui :

nous servira pour cette cure, (à Léandre.) Un mot. Vous voyez que l’ardeur qu’elle a pour ce Léandre est tout à fait contraire aux volontés du père ; qu’il n’y a point de temps à perdre ; que les humeurs sont fort aigries ; et qu’il est nécessaire de trouver promptement un remède à ce mal, qui pourroit empirer par le retardement. Pour moi, je n’y en vois qu’un seul, qui est une prise de fuite purgative, que vous mêlerez comme il faut avec deux dragmes de matrimonium en pilules.

22

(101 réponses, dans Le français et les autres langues)

An pa konpwan' biten la !

23

(12 réponses, dans Réflexions linguistiques)

J'en lis laPratique

: il s'agit de lire la Pratique du théâtre, ouvrage de l'abbé d'Aubignac, paru en 1657.
Bien oublié de nos jours,Jacques Schérer en fait son miel dans la Dramaturgie classique en France.

.... le tout en latin !

25

(6 réponses, dans Histoire de la langue française)

Ce tabarro me fait l'effet de dériver du tabard qui n'est en rien une houppelande.

Qu'est-ce qu'ils vous ont donc fait, ces malheureux pléonasmes ? Pourquoi une telle fixette ?
Quant à au jour d'aujourd'hui, je n'y vois aucun pléonasme, mais une simple cacographie : auX jourS d'aujourd'hui est une façon prétentieuse de dire par les temps qui courent, de nos jours.

Abel Boyer a écrit:

J'y vois probablement l'influence de l'anglais puisque "to obey" est transitif direct, comme a dû l'être notre verbe jadis en français, si j'en crois la tournure passive qui nous reste "être obéi".

J'y verrais plutôt l'influence du français sur l'anglais.

Hé hé ! Les anges picards ont donc davantage d'ailes que les autres ?

J'adore ce titre-prononcé à voix haute !

30

(21 réponses, dans Jeux de mots...)

Acceptez-vous concubin ?
La chose est dans le mot, le mot décrit la chose :
con-cu-bin : tous dans le bain !

31

(209 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Lévine a écrit:

Je ne pense pas que beaucoup prononcent "lègue" l'œuvre de Villon...

Très drôle ! Du grand art dans le foutage de gueule. Toutes mes félicitations, jeune homme !

32

(209 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Pas un mot sur l'agaçante transformation du lai de Villon en lègue, sous l'influence de la graphie faussement étymologique du mot. Cela me parait plus grave que les variations de voyelles...

Lévine :

Quelle que soit la langue, la traduction doit laisser l'impression que le texte a été écrit dans la langue cible.

doxa dite française. Personnellement je préfère la doxa allemande, selon laquelle une traduction doit donner une impression d'étrangeté.

Si je l'on main et manuel,...
En quelle langue cela est-il dit ?

Si, je le dis : en Guadeloupe, la cacahuète se nomme pistache.
Quand Jimmy Carter fut battu, un élève commenta : « Il va retourner planter ses pistaches. »

36

(131 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Ben oui !
J'ai (trop) longtemps nommé pain au chocolat les chocolatines jusque au moment où j'ai découvert le pain au chocolat : un pain au lait, traversé d'une barre de chocolat.
(Une autre fois, je vous parlerai des pistaches/cacahuètes...)

37

(131 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Le pain au chocolat et la chocolatine sont deux choses différentes.

Le-chat-qui-pète confond nuée ardente et coulée de lave : la lave, visqueuse, coule lentement. Le-chat-qui-a-pété est intoxiqué aux Derniers jours de Pompéi !

Asimov avait déjà tout prévu !

40

(15 réponses, dans Promotion linguistique)

Fake news : En français, bourrage de crâne, bouteillon, canard, intox...

41

(779 réponses, dans Jeux de mots...)

Il est né le 29 février et est simple sapeur...

42

(779 réponses, dans Jeux de mots...)

J'ai laissé les autres mesurer, mais j'avais trouvé par l'Infernet : une résurgence, canalisée au XIX e siècle

Le barrage Zola, du nom de l’initiateur du projet, François Zola (le père de l’écrivain et journaliste Émile Zola), est situé dans la commune du Tholonet, dans les gorges de l'Infernet en aval du barrage de Bimont et en amont du barrage de La Petite Mer (1475). Le Canal Zola approvisionnait en eau la ville d’Aix-en-Provence , distante de 7 km environ

Infernet, quel joli nom !

Le parisien Jean-Baptiste Poquelin nasalise bel et bien :
Femmes savantes, II, 6

Bélise.
Ton esprit, je l’avoue, est bien matériel !
Je n’est qu’un singulier ; avons, est pluriel[5].
Veux-tu toute ta vie offenser la grammaire ?

Martine.
Qui parle d’offenser grand’mère ni grand-père ?

Calembour tout à fait perdu en 2023...

44

(779 réponses, dans Jeux de mots...)

Le frère de Caroline, c'est Gustave Flaubert.

45

(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Chover a écrit :
Le français est trop influencé pas l'anglais, la ressemblance de « mèl » et « mel » avec « mail » est trop grande pour que l'original ne l'emporte pas sur la copie.

Qué ressemblance ? L'ail et le miel ne ressemblent pas !

46

(57 réponses, dans Promotion linguistique)

Un mail est une promenade plantée d'arbres où l'on jouait autrefois au maillet. rien à voir avec le courrier ! Quant à l'émail...
Voilà pourquoi je préfère courriel.

... sans oublier œdipe !

De plus, il s'agit d'un feuilleton : une histoire découpée dont les épisodes s'enchainent.
(Je sais : personne ne fait plus la différence entre série et feuilleton. Dommage : la langue y perd une nuance utile.)

49

(209 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Il existe autant de français que de francophones.
Les dictionnaires indiquent une prononciation standard : personne ne parle totalement comme le dictionnaire.

50

(209 réponses, dans Pratiques linguistiques)

Dans quelle région de la francophonie avez-vous formé votre oreille ? N'auriez-vous pas tendance à donner une valeur absolue à votre pratique particulière ?

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