Il y a "ananas" et "os" au pluriel et "anis" dont on entend ou non prononcer la finale.
Oui, ça me rappelle quelque chose.
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Il y a "ananas" et "os" au pluriel et "anis" dont on entend ou non prononcer la finale.
Oui, ça me rappelle quelque chose.
Il serait, quoi qu'il en soit, resté une approximation. La référence reste claire.
Je n'ai jamais entendu la chanson, je n'ai fait que le le texte. Faire sonner le S c'est faire disparaitre le calembour, dommage !
... et Pierre Perret :
Car vous avez compris déjà
Mes amis que les ours se suivent
Mais qu´ils ne se ressemblent pas
Il est bel et bien prononcé, en lisant le texte je me suis dit qu'il y aurait pu y avoir haplologie, ce n'est pas le cas.
... et Pierre Perret :
Un petit ours dans la montagne
Marchait derrière sa compagne
Qui se dirigeait vers Hanoi
Pour y voir un film de cowboys
Le gros ours qui les accompagne
Rêvait de partir en Espagne
Pour y danser le flamenco
Dans ses belles godasses en croco
Derrière eux une petite oursonne
Grimpée sur un chameau kabyle
Jouait gaiement au saxophone
La chanson de Buffalo BillLe cinquième ours de la colonne
Au grand café de Carcassonne
Monta sur le plus haut balcon
Pour y voir passer les gascons
Le sixième ours allait à Nice
Pour y déguster des clovisses
Le septième à Romorantin
Réputé pour ses strapontins
L´autre qui embarquait pour l´Amérique
Déjà champion du Périgord
Allait faire une sieste olympique
Et pensait battre le recordLe neuvième ours de la colonne
Buvait du miel à la bonbonne
Avant de partir à Beyrouth
Le dixième pousse une bicyclette
Le onzième tire la chevillette
D´une fusée intersidérale
Partant de cap Carnaveral
C´est inutile que je poursuive
Car vous avez compris déjà
Mes amis que les ours se suivent
Mais qu´ils ne se ressemblent pasPIERRE PERRET
Ne pas oublier la subtile variation singulier/pluriel :
un ourS/des our(s) ;
un cerF/des cer(fs) — ce denier inversé par les contemporains ;
Trop subtil, surtout pour "ours" dont la prononciation sans "s" a quasiment disparu.
Seul Rostand nous la rappelle, dans la Samaritaine, que personne ne lit :
Celui qu’on attendait, dont on parlait toujours.
Il ne fait pas manger les enfants par les ours
Comme on dit que faisait le prophète Élisée,
Mais il pose les mains sur leurs têtes frisées.
Ne pas oublier la subtile variation singulier/pluriel :
un ourS/des our(s) ;
un cerF/des cer(fs) — ce denier inversé par les contemporains ;
un œuF/des œux...
Tu lis Le lis dans la vallée.
Tu vis qu'avec un tournevis, j'ai donné un tour de vis.
Je n'arrive plus à me souvenir de quels mots il pouvait bien s'agir. Il faudrait demander à des Limousins plus frais.
Toujours est-il que l'on prononcait le s de anis. Faisait-il partie des mots qui dénotaient les Parisiens ? Je ne me rappelle pas. J'aurais plus pensé à des mots de la campagne, fruits, verdures, animaux...
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