La féminisation de la rime est une explication recevable, mais pas celle de la profession : à cette époque, il n'y avait pas de fliquettes chez les cognes (alors qu'il y en avait chez les matons).
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forum abclf » Pratiques argotiques et familières » flic, flick, flicque » Répondre
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La féminisation de la rime est une explication recevable, mais pas celle de la profession : à cette époque, il n'y avait pas de fliquettes chez les cognes (alors qu'il y en avait chez les matons).
Bonjour.
Mea culpa.
La forme flique est largement attestée au XIXe siècle et c'est en fait la première attestée ! Son usage est donc tout à fait normal pour rimer avec "épique". La seule interrogation, c'est sur la graphie mixte flicque. Mais comme je l'ai dit, l'autre forme attestée flick peut avoir interféré.
Bonjour.
Ou peut-être une simple licence poétique : le texte alterne rimes masculines et féminines ; or l'auteur a besoin d'un mot rimant avec épiques - ce qui n'est pas (de ce strict point-de-vue) le cas de flics. Il s'agirait donc bien d'une féminisation, mais pour une raison purement formelle (l'inverse de encore/encor, en quelque sorte). Simple hypothèse.
Ou un simple croisement entre les deux variantes vieillies flick et fliques.
Tombé dessus dans le fil sur le Chateau-Rouge : http://www.languefrancaise.net/forum/vi … 47#p135947
La forme flicque ne figure pas dans bob, mais je me demande s'il ne pourrait pas s'agir d'une féminisation dépréciative.
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