2. Arg. pop.
a) Train. Prendre le dur, louper son dur, rater le dur. Puis nous avons refait (...) le chemin de Strasbourg. Là nous avons repris le « dur », comme disait Judex (Vialar, Risques et périls, 1948, p. 203). Faut qu'ils [les Allemands] réparent les voies pour que le dur puisse passer, « Le dur, je leur en fais cadeau, dit Moulu » (Sartre, Mort ds âme, 1949, p. 202).
Brûler le dur. Voyager sans billet. Une partie du trajet Paris-Anvers s'était faite à pinces, l'autre en brûlant le dur (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p. 72). (tlfi:dur)
- De fer = dur ? (gb)
- Ellipse (Dauzat1918)