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Citations relevées dans “La nuit du vigile” (2011)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans La nuit du vigile, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Il a aux pieds des mocassins qui vont chercher dans les quarante sacs et il dort dehors. – (aller chercher)
  • Après tout, il habite peut-être ici et, trop saoul pour retrouver son appartement, il attend d'avoir les idées claires. – (ne pas avoir les idées claires)
  • Il mériterait que je lui flanque une bonne trouille, mais on ne sait jamais. Mieux vaut se méfier. – (on ne sait jamais)
  • Le chien se met à aboyer, de plus en plus fort. Ce gars-là fait le sourd. Il s'imagine sans doute que je ne vais pas insister. – (faire le sourd)
  • –Vous habitez ici ? –Non. –Alors foutez le camp. –Ça va, ça va. Il se lève, franchit les doubles portes vitrées et disparaît dans la nuit. – (ça va, ça va)
  • Des voyous se sont déjà faufilés, au moment où une voiture sortait. Ils sont restés planqués jusqu'à ce qu'il n'y ait plus personne, et là, ils s'en sont donné à coeur joie. Des caisses ont été bousillées et les gens se sont mis à pétocher. – (pétocher)
  • On doit tout le temps faire gaffe, guetter le coup tordu, et c'est usant. – (faire gaffe)
  • On doit tout le temps faire gaffe, guetter le coup tordu, et c'est usant. – (usant)
  • En tout cas, on les surveille tout le temps du coin de l'oeil. Pour notre propre bien. – (du coin de l'oeil)
  • À d'autres moments, je me mets à espérer que ça pète, histoire qu'il se passe quelque chose, qu'il y ait enfin de l'action et qu'on voie ce qu'ils ont dans le ventre, les minables du coin. – (histoire de)
  • À d'autres moments, je me mets à espérer que ça pète, histoire qu'il se passe quelque chose, qu'il y ait enfin de l'action et qu'on voie ce qu'ils ont dans le ventre, les minables du coin. – (minable)
  • À d'autres moments, je me mets à espérer que ça pète, histoire qu'il se passe quelque chose, qu'il y ait enfin de l'action et qu'on voie ce qu'ils ont dans le ventre, les minables du coin. – (74545)
  • À d'autres moments, je me mets à espérer que ça pète, histoire qu'il se passe quelque chose, qu'il y ait enfin de l'action et qu'on voie ce qu'ils ont dans le ventre, les minables du coin. – (péter)
  • on m'a dit qu'on avait retrouvé dans les parkings un mec à moitié clamecé, défiguré. – (clamsé)
  • Avec Jean, on peut picoler et se tourner les pouces tranquille, alors que Xavier peut d'un seul coup se mettre à taper sur tout ce qui bouge, pour un oui ou pour un non. – (se tourner les pouces)
  • Avec Jean, on peut picoler et se tourner les pouces tranquille, alors que Xavier peut d'un seul coup se mettre à taper sur tout ce qui bouge, pour un oui ou pour un non. – (pour un oui ou pour un non)
  • Avec Jean, on peut picoler et se tourner les pouces tranquille, alors que Xavier peut d'un seul coup se mettre à taper sur tout ce qui bouge, pour un oui ou pour un non. – (tout ce qui bouge)
  • Il avoisine le mètre quatre-vingt-dix, dépasse les cent kilos, de muscle, de graisse et d'alcool, et il est fort comme un boeuf. Il porte des caisses qui vont chercher dans les cinquante kilos sans sourciller. – (fort comme un boeuf)
  • Il avoisine le mètre quatre-vingt-dix, dépasse les cent kilos, de muscle, de graisse et d'alcool, et il est fort comme un boeuf. […] Jean et moi, on est plus près du mètre soixante-dix, et ça fait une sacrée différence. – (sacré X)
  • Xavier, il en profite, et la plupart des corvées sont pour nous. Lui, il reste le cul dans son fauteuil à siroter une bière. – (lever le cul de sa chaise)
  • Il doit être cinglé, mais il est malin, parce qu'il s'arrange toujours pour faire bonne impression au chef. Avec le gérant, c'est la seule personne devant qui il s'écrase. – (écraser)
  • Tous les soirs à plus ou moins la même heure, quand le film ou le match à la télévision est terminé, tout un tas de types descendent, la cigarette au bec, larguer un sac en plastique ou deux, et faire pisser le chien. – (pisser)
  • Ici, c'est coton à surveiller. Des types louches traînent régulièrement dans les parages, pour y passer la nuit, vendre ou acheter de la dope, tout casser, se faire une fille – (coton)
  • Ici, c'est coton à surveiller. Des types louches traînent régulièrement dans les parages, pour y passer la nuit, vendre ou acheter de la dope, tout casser, se faire une fille ou ce qui leur passera par la tête à ce moment-là… – (passer par la tête)
  • et si ça tombe sur un crétin qui a la déveine de se trouver là au mauvais moment, ils s'en cognent. – (déveine)
  • et si ça tombe sur un crétin qui a la déveine de se trouver là au mauvais moment, ils s'en cognent. – (s'en cogner)
  • Ce qui les attire, les racailles, c'est qu'ici vivent quand même pas mal de gens qui, mine de rien, s'y entendent à faire leur pelote. – (pelote)
  • Il porte en permanence un complet trois pièces bleu marine légèrement rayé de blanc, sombre, à larges revers. Ça lui permet de cacher un peu sa brioche. – (brioche)
  • À mon avis, ça doit faire longtemps qu'il ne s'est pas battu, et il a pris pas mal de bide, mais, même comme ça, ce n'est pas moi qui irais le chercher. – (bide)
  • À mon avis, ça doit faire longtemps qu'il ne s'est pas battu, et il a pris pas mal de bide, mais, même comme ça, ce n'est pas moi qui irais le chercher. – (chercher qqun)
  • Quand il a bu son verre et taillé le bout de gras avec nous, il va faire un tour dans la Résidence, la tige au bec et le talkie-walkie à la main. – (discuter le bout de gras)
  • Lherbier aussi était gris, mais il avait de l'entraînement et il tenait sur ses cannes comme si de rien n'était. – (tenir sur ses cannes)
  • Lherbier aussi était gris, mais il avait de l'entraînement et il tenait sur ses cannes comme si de rien n'était. – (53976)
  • Qu'est-ce que c'est que ces zigues ? Ils se croient où ? – (zig)
  • Qu'est-ce que c'est que ces zigues ? Ils se croient où ? –Je sais pas, chef. On les dégage ? –Ouais. – (dégager)
  • on avait un peu plus bu que d'habitude. […] J'avais beau être dans les vapes, j'en reconnaissais quelques-uns, avec qui on avait souvent des accrochages. – (vape)
  • on avait un peu plus bu que d'habitude. […] J'avais beau être dans les vapes, j'en reconnaissais quelques-uns, avec qui on avait souvent des accrochages. – (36726)
  • J'avais beau être dans les vapes, j'en reconnaissais quelques-uns, avec qui on avait souvent des accrochages. C'étaient pas les plus commodes de la bande, loin de là. – (pas commode)
  • J'avais beau être dans les vapes, j'en reconnaissais quelques-uns, avec qui on avait souvent des accrochages. C'étaient pas les plus commodes de la bande, loin de là. – (74548)
  • –Faisons gaffe, quand même. –Rien du tout. Ils vont voir qui je suis. – (74549)
  • –Faisons gaffe, quand même. –Rien du tout. Ils vont voir qui je suis. – (74550)
  • C'est quoi cette bécane, les gars ? Vous l'avez chourée où ? – (chourer)
  • –C'est quoi cette bécane, les gars ? Vous l'avez chourée où ? –Tu cherches quoi, gros père ? – (gros père)
  • –C'est quoi cette bécane, les gars ? Vous l'avez chourée où ? –Tu cherches quoi, gros père ? –Des emmerdes. – (emmerdes)
  • –On fait rien de mal. –C'est toi qui le dis, trouduc. – (trouduc)
  • –C'est quoi cette bécane, les gars ? Vous l'avez chourée où ? –Tu Vous allez ramasser vos merdes et calter. Et pas plus tard que tout de suite. – (merde)
  • Vous allez ramasser vos merdes et calter. Et pas plus tard que tout de suite. – (pas plus tard que tout de suite)
  • Qu'est-ce que vous voulez, bon Dieu ? Une baston ? – (baston)
  • Ils n'ont pas traîné. Leur scooter a démarré au quart de tour. – (au quart de tour)
  • Après quelques dizaines de mètres, quand ils ont vu que Lherbier braquait son arme sur eux, ils ont piqué un sprint. – (piquer un sprint)
  • La détonation a fait un boucan du tonnerre, amplifiée par le souterrain. – (du tonnerre)
  • Ça a résonné comme un coup de canon. Ça m'a assourdi, et sacrément surpris. Faut dire que j'étais juste à côté de lui et que je ne m'attendais pas à ce qu'il tire pour de bon. – (pour de bon)
  • Vous leur avez filé une trouille bleue, chef ! –Ça, tu peux le dire, Cyrille. –Vous avez vu comment ils ont détalé ? De vraies gazelles ! – (tu peux le dire)
  • Cyrille. –Vous avez vu comment ils ont détalé ? De vraies gazelles ! – (détaler)
  • J'aurais pu faire un joli carton. Ça m'aurait bien plu de dégommer un de ces petits cons. – (dégommer)
  • J'aurais pu faire un joli carton. Ça m'aurait bien plu de dégommer un de ces petits cons. – (con)
  • J'avais le coeur qui battait à tout rompre et les oreilles qui sifflaient. – (à tout rompre)
  • on ouvre la porte de communication avec notre double et Xav fait sauter la serrure après. Pour ne pas attirer les soupçons. – (Xav)
  • Il surveille, il nous indique ce qui vaut la peine d'être embarqué et ce qui ne vaut pas un clou. Avec lui, on évite de se fatiguer pour des trucs dont le fourgue ne voudra pas. – (pas un clou)
  • À vrai dire, les gens mettent presque toujours des bouteilles, dans leurs caves. C'est ce qu'on y trouve le plus souvent, avec des merdes qui n'ont pas le moindre intérêt. – (merde)
  • Parfois, on tombe sur de vrais collectionneurs, des spécialistes, qui ont des boutanches qui valent plus que n'importe qui de sensé paierait pour du pinard – (boutanche)
  • D'emblée, on trouve la télé. Écran géant, magnétoscope en bonus. – (74554)
  • On ouvre les malles, histoire de jeter un coup d'oeil en vitesse. Dedans, il y a tout un tas de frusques et des bibelots en pagaille. – (pagaille)
  • J'ouvre l'autre malle et Richard m'aide à fouiller. Rien que des saloperies. Des vieux bouquins, et encore des bibelots. Des photos dans des cadres, des trucs dans ce genre. – (saloperie)
  • J'ouvre l'autre malle et Richard m'aide à fouiller. Rien que des saloperies. Des vieux bouquins, et encore des bibelots. Des photos dans des cadres, des trucs dans ce genre. – (bouquin)
  • Jean fait sauter la serrure de la [cave] E 425, de l'autre côté de l'allée. Elle est pleine comme un oeuf. On peut à peine y poser le pied et, à première vue, rien d'intéressant à barboter. – (plein comme un oeuf)
  • Jean fait sauter la serrure de la [cave] E 425, de l'autre côté de l'allée. Elle est pleine comme un oeuf. On peut à peine y poser le pied et, à première vue, rien d'intéressant à barboter. – (barboter)
  • Les autres, c'est du… euh… du bordeaux premier grand cru. J'arrive pas à lire la date. –T'esquinte pas les yeux, Pierrot. – (s'esquinter les yeux)
  • Vu son air quand il montre les rayonnages, elles valent leur pesant d'oseille, c'est garanti. – (valoir son pesant d'oseille)
  • Vu son air quand il montre les rayonnages, elles valent leur pesant d'oseille, c'est garanti. – (74556)
  • Jean et moi, on va finir la nuit à la baraque. On s'attribue trois cannettes de Kro chacun, plus quelques tiges, et on tue le temps. – (kro)
  • Le mercredi ressemble plus au mardi, sauf quand il y a des matchs de foot, mais, en gros, c'est pareil. – (en gros)
  • À minuit, tout est éteint. Ça se comprend. Après avoir biberonné, gueuletonné, dansoté, dragouillé, peloté, baisouillé, qui veut faire autre chose que dormir ? – (gueuletonner)
  • À minuit, tout est éteint. Ça se comprend. Après avoir biberonné, gueuletonné, dansoté, dragouillé, peloté, baisouillé, qui veut faire autre chose que dormir ? – (74559)
  • À minuit, tout est éteint. Ça se comprend. Après avoir biberonné, gueuletonné, dansoté, dragouillé, peloté, baisouillé, qui veut faire autre chose que dormir ? – (dragouiller)
  • À minuit, tout est éteint. Ça se comprend. Après avoir biberonné, gueuletonné, dansoté, dragouillé, peloté, baisouillé, qui veut faire autre chose que dormir ? – (baisouiller)
  • Vous nous coûtez cher et vous en foutez pas une. Quand il y a un pépin, vous êtes jamais au bon endroit. – (n'en foutre pas une)
  • on jouit d'un statut particulier. On est à un endroit stratégique, on a les coudées franches, sans parler des à-côtés, du bizness entre nous. […] N'importe qui à notre place ferait pareil. Pourquoi ne pas se sucrer tant qu'on le peut ? – (bizenesse)
  • on jouit d'un statut particulier. On est à un endroit stratégique, on a les coudées franches, sans parler des à-côtés, du bizness entre nous. […] N'importe qui à notre place ferait pareil. Pourquoi ne pas se sucrer tant qu'on le peut ? – (74562)
  • on jouit d'un statut particulier. On est à un endroit stratégique, on a les coudées franches, sans parler des à-côtés, du bizness entre nous. […] N'importe qui à notre place ferait pareil. Pourquoi ne pas se sucrer tant qu'on le peut ? – (se sucrer)
  • Voltic marche dans nos combines. […] c'est un sacré magouilleur. Faut croire que le communisme, ça produit de drôles d'effets. On peut pas dire que les scrupules l'étouffent. – (magouilleur)
  • Voltic marche dans nos combines. […] c'est un sacré magouilleur. Faut croire que le communisme, ça produit de drôles d'effets. On peut pas dire que les scrupules l'étouffent. – (ce n'est pas X qui nous étouffe)
  • Savoir si nous, les hommes de main, on se fait entuber par Lherbier et lui. C'est toujours Lherbier qui traite avec les fourgues, et on ne sait jamais vraiment sur quelles sommes elles portent, les transactions. – (entuber)
  • Ce qui fait qu'à l'arrivée, il se pourrait que les parts, ils les fassent inégales, et qu'on touche moins que ce à quoi on a droit. Ça me déplairait franchement, comme embrouille – (embrouille)
  • mais pour l'instant je n'ai aucune preuve, alors je m'écrase, je la boucle. – (écraser)
  • mais pour l'instant je n'ai aucune preuve, alors je m'écrase, je la boucle. – (la boucler)
  • et qu'ils demandent à Voltic si c'est encore libre, il leur répond d'une voix égale qu'il y a beaucoup de monde sur le coup, mais qu'ils pourraient se retrouver en première position s'ils savent ce qu'ils ont à faire. – (être sur le coup)
  • et qu'ils demandent à Voltic si c'est encore libre, il leur répond d'une voix égale qu'il y a beaucoup de monde sur le coup, mais qu'ils pourraient se retrouver en première position s'ils savent ce qu'ils ont à faire. Les gens pigent tout de suite – (piger)
  • Idem pour les entreprises d'entretien. Pour être engagé, il faut casquer. C'est pas plus compliqué que ça. – (c'est pas plus difficile que ça)
  • il y a de la place pour beaucoup de monde, et les occasions de ramasser de l'oseille ne manquent pas. – (ramasser)
  • c'est vrai que même si Lherbier et Voltic nous refont dans les grandes largeurs, ça reste intéressant. – (dans les grandes largeurs)
  • Sur les onze heures et demie-minuit, elle promène souvent son caniche, alors de temps en temps je me démerde pour être dans les parages. – (se démerder)
  • Comme il était trop tard pour réveiller les concierges, qui gardent les doubles, elle m'avait demandé de voir si je ne pourrais pas essayer de bidouiller sa serrure avec mon passe. – (bidouiller)
  • –Je suis comme qui dirait enfermée dehors ! / Je lui aurais bien proposé de venir à la baraque finir la nuit, mais ça aurait été lourd, alors j'ai ouvert la porte. C'est fou ce que ces portes sont faciles à forcer – (lourd)
  • Je traîne depuis un quart d'heure. Je ne la vois pas arriver. Je vais attacher le chien et reviens faire les cent pas. C'est râpé pour ce soir, on dirait. Mais non. La voilà. – (râpé)
  • Elle porte un petit blouson de cuir, un chemisier léger et des talons hauts. Vu comment ça bouge, je parierais n'importe quoi qu'elle n'a pas de soutif. – (soutif)
  • Elle porte un petit blouson de cuir, un chemisier léger et des talons hauts. Vu comment ça bouge, je parierais n'importe quoi qu'elle n'a pas de soutif. – (74563)
  • Elle n'a pas l'air d'apprécier des masses mon allusion. – (des masses)
  • J'ouvre une bouteille de bière et je la siffle. – (siffler)
  • Cyrille, lui, il ne marche qu'au pinard. Toujours du même, du rouge dans des bouteilles en plastique vert, avec une étiquette Franvin. – (marcher à X)
  • du rouge dans des bouteilles en plastique vert, avec une étiquette Franvin. J'imagine que ça doit vouloir dire « vin français », « France vin », ou quelque chose dans le genre. – (74565)
  • Il le paie trois fois rien le litre chez l'épicier du coin, et c'est un gros client. – (trois fois rien)
  • pour les caves, on ne sait rien de vraiment intéressant. On est prêts à faire tout ce qu'il faudra pour serrer ceux qui font ça, bien sûr, mais on est secs. – (sec)
  • Ce soir, il y a un os. L'inspecteur Leblanc a l'air hargneux. Il est agressif. Il ressemble à quelqu'un qui s'est fait remonter les bretelles il n'y a pas longtemps – (se faire remonter les bretelles)
  • Il ressemble à quelqu'un qui s'est fait remonter les bretelles il n'y a pas longtemps et qui a envie de passer sa rogne sur le premier qui lui tombera sous la main. – (tomber sous la main)
  • Ça tient debout, ce que tu dis, Leblanc, mais on peut jamais savoir ce qui leur passe par la tête, à ces nazes, tu le sais bien. – (passer par la tête)
  • Ça tient debout, ce que tu dis, Leblanc, mais on peut jamais savoir ce qui leur passe par la tête, à ces nazes, tu le sais bien. – (naze)
  • Oui, mais tu sais comment ça se passe. Les gens déclarent toujours plus que ce qu'il y avait en réalité. Ils essaient d'entuber leur assureur avant que ce soit lui qui les gruge. C'est classique. – (entuber)
  • Oui, mais tu sais comment ça se passe. Les gens déclarent toujours plus que ce qu'il y avait en réalité. Ils essaient d'entuber leur assureur avant que ce soit lui qui les gruge. C'est classique. – (gruger)
  • N'empêche, tu m'enlèveras pas de l'idée que ça sent l'embrouille à plein nez. – (74566)
  • N'empêche, tu m'enlèveras pas de l'idée que ça sent l'embrouille à plein nez. – (embrouille)
  • N'empêche, tu m'enlèveras pas de l'idée que ça sent l'embrouille à plein nez. – (sentir X)
  • Sûr, et on va pas passer la nuit ici, alors rentre. Salut les gars. Ouvrez l'oeil, et le bon, il nous fait en se marrant, avant de tourner les talons. – (on ne va pas y passer la nuit)
  • Sûr, et on va pas passer la nuit ici, alors rentre. Salut les gars. Ouvrez l'oeil, et le bon, il nous fait en se marrant, avant de tourner les talons. – (tourner les talons)
  • Sûr, et on va pas passer la nuit ici, alors rentre. Salut les gars. Ouvrez l'oeil, et le bon, il nous fait en se marrant, avant de tourner les talons. –À la prochaine. – (à la prochaine)
  • Leblanc sort sa carte, mais ils avaient déjà pigé que c'était un condé. – (condé)
  • On fêtait un anniversaire, celui de Catherine, ici présente, pas vrai Cathy ? – (Cathy)
  • Qu'est-ce qu'on est censés avoir fait, ce coup-ci ? – (ce coup-ci)
  • Qu'est-ce qu'on est censés avoir fait, ce coup-ci ? –T'occupe. – (t'occupe !)
  • Si vous entendez quelque chose sur le dernier casse des caves, prévenez-nous. –C'est bien connu, on est des balances. – (casse)
  • Si vous entendez quelque chose sur le dernier casse des caves, prévenez-nous. –C'est bien connu, on est des balances. – (balance)
  • Ce qui fout les jetons, c'est ce fouille-merde de Leblanc. Sans compter que Leblanc n'a sûrement pas eu le temps de se le mettre dans la poche. – (fouille-merde)
  • Ce qui fout les jetons, c'est ce fouille-merde de Leblanc. Sans compter que Leblanc n'a sûrement pas eu le temps de se le mettre dans la poche. – (mettre qqun dans sa poche)
  • Lherbier dit que Leblanc risque de revenir fouiner, alors on reste tranquilles. Moi, j'attends, je vois venir, je me dis que ça ne sert à rien de fouetter avant de savoir de quoi il retourne exactement. – (voir venir)
  • Lherbier dit que Leblanc risque de revenir fouiner, alors on reste tranquilles. Moi, j'attends, je vois venir, je me dis que ça ne sert à rien de fouetter avant de savoir de quoi il retourne exactement. – (fouetter)
  • Il passe son temps à me demander si on va aller en taule, et combien de temps on pourrait y rester. Pour rigoler, je lui raconte qu'on est mûrs pour dix piges, au bas mot – (mûr)
  • –Arrête de déconner, bon Dieu, on risque pas autant, quand même ? –Je me suis renseigné, on n'est pas très bien barrés, mais ça pourrait être pire. – (mal barré)
  • ça pourrait être pire. –Pire. Qu'est-ce que tu veux dire, putain ? Pire que dix ans au trou ? Tu rigoles ? – (rigoler)
  • ça pourrait être pire. –Pire. Qu'est-ce que tu veux dire, putain ? Pire que dix ans au trou ? Tu rigoles ? –Tout dépend du nombre de trucs qu'on peut te mettre sur le dos. – (sur le dos)
  • ça pourrait être pire. –Pire. Qu'est-ce que tu veux dire, putain ? Pire que dix ans au trou ? Tu rigoles ? –Tout dépend du nombre de trucs qu'on peut te mettre sur le dos. […] Mais on est tous dans la même merde, tu sais. –C'est pas ce qui me réconforte. – (merde)
  • la situation a un côté marrant. –Je serais curieux de savoir lequel. –Regarde : on est des surveillants surveillés, des contrôleurs contrôlés, c'est marrant, ça, non ? –Je trouve pas ça très drôle, Pierrot, je trouve ça plutôt lourd. – (lourd)
  • Ces jours-ci, Lherbier aussi se fait plus discret. Il paraît que ça a bardé entre lui et Voltic, rapport aux descentes de flics – (barder)
  • Lherbier, il est comme tout le monde, il n'aime pas se faire tirer les oreilles. – (tirer les oreilles)
  • j'en profite pour lui demander combien a rapporté le dernier coup. –Pas mal. On partagera samedi soir. –Ça va chercher dans les combien par tête de pipe ? –J'ai pas encore compté en détail – (par tête de pipe)
  • À la baraque, j'entame un pack de Kro. Il doit être à Jean, mais ça n'a pas beaucoup d'importance. – (kro)
  • je m'installe devant la mini-télé noir et blanc. – (70703)
  • Lherbier fait son apparition derrière la porte vitrée. Il vient nous donner notre part du gâteau. Je l'attendais avec impatience. C'est la règle. Après chaque coup, on partage. Tous les vigiles touchent la même chose. – (part du gâteau)
  • Il vient nous donner notre part du gâteau. Je l'attendais avec impatience. C'est la règle. Après chaque coup, on partage. Tous les vigiles touchent la même chose. C'est réglo et ça ne fait pas de jaloux. – (réglo)
  • Cette fois, je m'attends à ramasser un peu plus que d'habitude et je ne me suis pas planté. On reçoit cinq cents chacun… – (se planter)
  • Je ne sais pas combien ils gardent pour arroser les flics, et j'ai du mal à estimer la valeur de ce qu'on a raflé – (arroser)
  • Je ne sais pas combien ils gardent pour arroser les flics, et j'ai du mal à estimer la valeur de ce qu'on a raflé – (rafler)
  • Il sort les billets de leur enveloppe marron, les plie avant de les mettre dans la poche de son pantalon. Il froisse l'enveloppe et la balance. –Certaines bouteilles valaient un joli paquet. – (paquet)
  • S'il y a une question dont je voudrais connaître la réponse, c'est bien celle-là. Est-ce qu'on se fait oui ou non enfler par Lherbier et Voltic ? Parce que c'est sûr qu'ils marchent ensemble, tous les deux. – (enfler)
  • S'il y a une question dont je voudrais connaître la réponse, c'est bien celle-là. Est-ce qu'on se fait oui ou non enfler par Lherbier et Voltic ? Parce que c'est sûr qu'ils marchent ensemble, tous les deux. – (oui ou non)
  • S'il y a une question dont je voudrais connaître la réponse, c'est bien celle-là. Est-ce qu'on se fait oui ou non enfler par Lherbier et Voltic ? Parce que c'est sûr qu'ils marchent ensemble, tous les deux. – (marcher ensemble)
  • J'aimerais coincer le chef et lui faire cracher la vérité. – (cracher)
  • Ça me rend malade de penser que je n'ai que les miettes et que je ne fais rien contre ça. Il doit y avoir une solution. – (74569)
  • Ça me rend malade de penser que je n'ai que les miettes et que je ne fais rien contre ça. Il doit y avoir une solution. – (des miettes)
  • Ce qui compte, avec l'argent, c'est combien on en a, pas comment on l'obtient. C'est comme ça qu'il faut voir les choses, sinon on reste un minable, un second couteau sur les pieds de qui tout le monde marche. – (minable)
  • Ce qui compte, avec l'argent, c'est combien on en a, pas comment on l'obtient. C'est comme ça qu'il faut voir les choses, sinon on reste un minable, un second couteau sur les pieds de qui tout le monde marche. – (ne pas se laisser marcher sur les pieds)
  • Ce qui compte, avec l'argent, c'est combien on en a, pas comment on l'obtient. C'est comme ça qu'il faut voir les choses, sinon on reste un minable, un second couteau sur les pieds de qui tout le monde marche. – (troisième couteau)
  • Et puis, franchement, ce blé est aussi bien dans ma fouille que dans celle d'un pochetron de luxe. – (fouille)
  • Et puis, franchement, ce blé est aussi bien dans ma fouille que dans celle d'un pochetron de luxe. – (pochtron)
  • Autour de moi, ceux qui tirent leur épingle du jeu sont ceux qui ont mis leurs scrupules dans leur mouchoir et fait un noeud dedans. – (tirer son épingle du jeu)
  • Autour de moi, ceux qui tirent leur épingle du jeu sont ceux qui ont mis leurs scrupules dans leur mouchoir et fait un noeud dedans. – (mettre X dans son mouchoir et faire un noeud dedans)
  • Il faut dire que les mecs qui ont conçu la Résidence ne devaient pas être des lumières. Ils ne débordaient pas d'imagination. – (pas une lumière)
  • Il faut dire que les mecs qui ont conçu la Résidence ne devaient pas être des lumières. Ils ne débordaient pas d'imagination. – (déborder de)
  • Ils ont aligné parallèlement trois bâtiments, plus un autre en traviole un peu plus loin, et n'ont strictement rien prévu pour la sécurité. – (traviole)
  • La pancarte au bout de la rue est jolie, les lettres sont chiadées, mais quand on arrive, on ne peut pas se gourer sur la vraie nature de l'endroit : l'entassement du plus de gens possible sur le moins d'espace possible. – (chiadé)
  • Des types franchement louches avaient fini par atterrir ici. Ils barbouillaient les murs de graffitis illisibles, chouraient deux ou trois bricoles et brûlaient ce qui pouvait l'être, jusqu'aux boutons des ascenseurs. – (chourer)
  • Des types franchement louches avaient fini par atterrir ici. Ils barbouillaient les murs de graffitis illisibles, chouraient deux ou trois bricoles et brûlaient ce qui pouvait l'être, jusqu'aux boutons des ascenseurs. – (bricole)
  • On en a attrapé quelques-uns, et on en a pris sur le fait. Ça avait pas mal chauffé, parfois. Un peu d'action, il n'y a que ça de vrai. – (il n'y a que ça de vrai)
  • Un soir où Xavier cherchait la bagarre, ils ne s'étaient pas démontés. – (se démonter)
  • Un soir où Xavier cherchait la bagarre, ils ne s'étaient pas démontés. Un petit qui n'avait pas froid aux yeux, après avoir essuyé une bordée d'insultes bien senties, s'était jeté sur lui, anéantissant l'avantage que lui donnait sa grande taille – (ne pas avoir froid aux yeux)
  • si Lherbier et lui n'étaient pas potes, ça n'irait pas beaucoup plus loin. – (pote)
  • c'est plus facile si on est entre copains. Un peu comme à l'armée. La camaraderie, ça aide à tenir. On picole ensemble, on blague, on se serre les coudes, et on finit par croire qu'on peut compter les uns sur les autres. – (copain)
  • c'est plus facile si on est entre copains. Un peu comme à l'armée. La camaraderie, ça aide à tenir. On picole ensemble, on blague, on se serre les coudes, et on finit par croire qu'on peut compter les uns sur les autres. – (se serrer les coudes)
  • Et puis on sait que si notre bizness transpirait, on se retrouverait tous dans une merde noire. – (être dans une merde noire)
  • Le moins que je puisse dire, c'est qu'ils n'ont pas nagé dans le bonheur en me voyant me pointer pile à ce moment-là. – (74574)
  • Le moins que je puisse dire, c'est qu'ils n'ont pas nagé dans le bonheur en me voyant me pointer pile à ce moment-là. – (pile)
  • Il vous cherchait pas d'emmerdes, le gosse, au moins ? – (emmerdes)
  • D'après ce que celui-là raconte, avec toi, c'est okay, mais avec les autres, c'est pas la même chanson. Il dit que c'est pas toujours eux qui cherchent la baston – (la même chanson)
  • D'après ce que celui-là raconte, avec toi, c'est okay, mais avec les autres, c'est pas la même chanson. Il dit que c'est pas toujours eux qui cherchent la baston – (baston)
  • il a assez de jugeote pour savoir où est son intérêt, quand il parle à un flic. – (jugeote)
  • Au fait, et leur alibi, c'était du solide ? –Du béton. – (du solide)
  • Au fait, et leur alibi, c'était du solide ? –Du béton. – (béton)
  • Je suis silencieux comme un chat, c'est tout juste si je respire. – (74575)
  • il suffit de poser quelques questions à droite et à gauche comme je viens de le faire pour être sur les bons rails. Vous me suivez ? – (être sur les rails)
  • Et les plaintes ? –On les enterre. Ils touchent leur assurance et ils sont contents. – (enterrer)
  • –Je passerai chercher le fric demain, ça vous convient ? –Pas de problème. – (pas de problème)
  • Un vieux m'a dit : « Tu t'es mis dans le pétrin tout seul, tu dois t'en sortir tout seul. » – (pétrin)
  • ça ne mène à rien de rester assis sur son cul à dire que ça ne peut plus durer – (lever le cul de sa chaise)
  • Un peu comme avec les filles. Fatalement, on en arrive au point où il faut poser la bonne question. Tout ce qu'on risque, c'est qu'elles disent non. On n'en meurt pas. – (on n'en meurt pas)
  • Il faut que j'agisse seul. Bientôt, si tout va bien, je ne serai plus Pierrot-la-bonne-poire, celui qui s'écrase ou qui se laisse emmerder sans oser répondre. – (poire)
  • Je peux tirer mon épingle du jeu. Il y a des risques, mais tant pis. – (74509)
  • Et puis l'été, la journée, c'est mieux. On voit du monde, on peut mater toutes ces filles qui se baladent pour ainsi dire le cul à l'air. – (mater)
  • Moi, j'peux vous l'dire, m'sieur, j'vous souhaite bien du plaisir, pasqu'avec les lois qu'i vont nous coller, on pourra pu rien faire, sinon crac ! pu d'permis ! J'vous jure, c'est comme j'vous dis. – (souhaiter bien du plaisir)
  • Moi, j'peux vous l'dire, m'sieur, j'vous souhaite bien du plaisir, pasqu'avec les lois qu'i vont nous coller, on pourra pu rien faire, sinon crac ! pu d'permis ! J'vous jure, c'est comme j'vous dis. – (je vous le jure)
  • Il a un peu forcé, aujourd'hui, Renato. Je l'ai pas mal observé. D'ordinaire, il attaque sa première bouteille, du rouge, vers neuf heures du matin. […] J'ai l'impression qu'il a pris de l'avance sur son programme – (forcer)
  • Il a un peu forcé, aujourd'hui, Renato. Je l'ai pas mal observé. D'ordinaire, il attaque sa première bouteille, du rouge, vers neuf heures du matin. […] J'ai l'impression qu'il a pris de l'avance sur son programme, parce que d'habitude, il tient mieux le – (46933)
  • il attaque sa première bouteille, du rouge, vers neuf heures du matin […] revient la vider vers onze heures. Il en débouche une autre à une heure et la termine pour quatre. Il est réglé comme du papier à musique. – (réglé comme du papier à musique)
  • D'ordinaire, il attaque sa première bouteille, du rouge, vers neuf heures du matin. […] J'ai l'impression qu'il a pris de l'avance sur son programme, parce que d'habitude, il tient mieux le choc – (tenir le choc)
  • De penser à toute allure, on dirait que ça l'a dégrisé. – (65939)
  • T'es une belle ordure. Si ça se trouve, ce mec-là va me faire des emmerdes. – (ordure)
  • T'es une belle ordure. Si ça se trouve, ce mec-là va me faire des emmerdes. – (emmerdes)
  • Voltic nous a souvent fait des laïus pour nous expliquer que les règles n'étaient pas là pour faire joli, qu'il fallait s'y tenir, ce qui ne veut pas dire qu'il faut manquer de souplesse ou de psychologie, dans certains cas. – (pour faire joli)
  • Tout dépend de la personne à qui on a affaire. Ça tombe sous le sens. Quand ce sont des bourges, on ne leur parle pas de la même façon qu'à des poivrots ou des racailles. – (tomber sous le sens)
  • Tout dépend de la personne à qui on a affaire. Ça tombe sous le sens. Quand ce sont des bourges, on ne leur parle pas de la même façon qu'à des poivrots ou des racailles. – (bourge)
  • Tout dépend de la personne à qui on a affaire. Ça tombe sous le sens. Quand ce sont des bourges, on ne leur parle pas de la même façon qu'à des poivrots ou des racailles. – (racaille)
  • Le règlement dit aussi qu'on doit empêcher les jeux de balles […] même là où les voitures n'ont pas accès. C'est comme ça, un point c'est tout. – (un point c'est tout)
  • Le règlement dit aussi qu'on doit empêcher les jeux de balles […] même là où les voitures n'ont pas accès. C'est comme ça, un point c'est tout. En été, c'est particulièrement dur à faire avaler aux gosses, et, dans un sens, je les comprends. – (avaler la pilule)
  • En général, Cyrille s'en charge. Allez savoir pourquoi, ça lui plaît. – (69005)
  • Comme il était fait, il ne s'était pas rendu compte qu'il n'avait pas affaire qu'à des mômes et qu'il y avait pas mal de mecs de la bande du quartier. – (fait)
  • nous saoulez pas, on dérange personne – (saouler)
  • Qu'est-ce que tu veux, man ? Tu déranges, tu vois pas ? […] T'es complètement bourré, man, tu tiens pas debout, dégage. – (man)
  • Qu'est-ce que tu veux, man ? Tu déranges, tu vois pas ? –La balle, passez-moi la balle. –Dans tes rêves. –Ouais, retourne cuver et lâche-nous un peu. – (dans tes rêves)
  • Qu'est-ce que tu veux, man ? Tu déranges, tu vois pas ? –La balle, passez-moi la balle. –Dans tes rêves. –Ouais, retourne cuver et lâche-nous un peu. – (lâcher qqun)
  • Qu'est-ce que tu veux, man ? Tu déranges, tu vois pas ? –La balle, passez-moi la balle. –Dans tes rêves. –Ouais, retourne cuver et lâche-nous un peu. – (cuver)
  • Qu'est-ce que tu veux, man ? Tu déranges, tu vois pas ? […] T'es complètement bourré, man, tu tiens pas debout, dégage. – (dégager)
  • T'es complètement bourré, man, tu tiens pas debout, dégage. – (ne plus tenir debout)
  • –Moi, je suis bourré ? –Un peu, tu veux dire ! Tu pues la vinasse. – (vinasse)
  • Cyrille n'était déjà pas très net, mal assuré sur ses jambes, alors quand il avait tenté cette prise, le comique n'avait rien eu à faire. – (74579)
  • Tous les types s'étaient gondolés. Il n'y avait que Cyrille qui ne trouvait pas ça drôle. – (se gondoler)
  • T'as dû faire du judo, mais ça fait un bail. Maintenant, tu pourrais plus basculer un bébé. – (un bail)
  • T'as dû faire du judo, mais ça fait un bail. Maintenant, tu pourrais plus basculer un bébé. –Mais pour lever le poignet, ça, tu dois avoir un sacré entraînement, pas vrai ducon ? – (lever le poignet)
  • T'as dû faire du judo, mais ça fait un bail. Maintenant, tu pourrais plus basculer un bébé. –Mais pour lever le poignet, ça, tu dois avoir un sacré entraînement, pas vrai ducon ? – (Ducon)
  • Le chien était resté là, à aboyer comme un con. – (con)
  • La plupart du temps, les jeunes qui jouent au foot, on les fait déguerpir parce qu'on reçoit un coup de fil d'un voisin qui nous dit qu'il en a marre de ce boxon, qu'il ne peut pas fermer l'oeil et qu'il va au boulot le lendemain – (boxon)
  • La plupart du temps, les jeunes qui jouent au foot, on les fait déguerpir parce qu'on reçoit un coup de fil d'un voisin qui nous dit qu'il en a marre de ce boxon, qu'il ne peut pas fermer l'oeil et qu'il va au boulot le lendemain, lui, bordel de Dieu. – (bordel de Dieu !)
  • je suis sûr qu'ils nous mettent dans le même sac, qu'on est la même sorte de merde, à leurs yeux. – (mettre dans le même sac)
  • On contrôle aussi les parkings et les caves. Si un clodo parvient malgré tout à s'introduire quelque part, il y a toujours quelqu'un pour nous dire de le virer. – (clodo)
  • On contrôle aussi les parkings et les caves. Si un clodo parvient malgré tout à s'introduire quelque part, il y a toujours quelqu'un pour nous dire de le virer. – (virer)
  • Lui, il n'y a qu'un truc qui l'intéresse, c'est le cul. Il parle rarement d'autre chose. – (cul)
  • Lui, il n'y a qu'un truc qui l'intéresse, c'est le cul. Il parle rarement d'autre chose. Il est tout le temps en train de discuter le coup avec une bonne femme, mais on ne sait jamais si son baratin prend ou pas. – (discuter le coup)
  • Lui, il n'y a qu'un truc qui l'intéresse, c'est le cul. Il parle rarement d'autre chose. Il est tout le temps en train de discuter le coup avec une bonne femme, mais on ne sait jamais si son baratin prend ou pas. – (baratin)
  • Lui, il n'y a qu'un truc qui l'intéresse, c'est le cul. Il parle rarement d'autre chose. Il est tout le temps en train de discuter le coup avec une bonne femme, mais on ne sait jamais si son baratin prend ou pas. – (bonne femme)
  • J'ai repéré une femme, mon vieux, je ne te dis que ça. – (je ne vous dis que ça)
  • J'ai repéré une femme, mon vieux, je ne te dis que ça. […] –Je vois, mais elle a pas des gosses, celle-là ? –Ça mon vieux, c'est pas un problo. – (problo)
  • Tu fais sembant de t'intéresser aux gosses, et la moitié du travail est fait. […] Les mères, ça pense qu'à leurs mômes, neuf fois sur dix. Tu joues là-dessus et c'est bonnard. – (bonnard)
  • Xavier arrive à son tour. Il est beurré et, d'entrée, il se montre agressif avec Louis. – (beurré)
  • c'est une pute, mon vieux, une sacrée salope. – (salope)
  • T'en as pas marre de prendre des vestes avec elle, Pierrot ? –Qui a dit que je prenais des vestes ? –Personne. Faut juste voir la gueule que tu tires ! – (veste)
  • T'en as pas marre de prendre des vestes avec elle, Pierrot ? –Qui a dit que je prenais des vestes ? –Personne. Faut juste voir la gueule que tu tires ! – (tirer la gueule)
  • T'en as pas marre de prendre des vestes avec elle, Pierrot ? –Qui a dit que je prenais des vestes ? –Personne. Faut juste voir la gueule que tu tires ! –Cause toujours, connard. On verra bien qui fera quoi. – (cause toujours, tu m'intéresses)
  • Un vrai dur, ce Pierre ! Tu as vu comme il parle, Louis ? Si tu t'y prends comme ça avec les filles, ça doit être quelque chose ! – (être quelque chose)
  • Ou c'est parce que ça fait tellement longtemps que t'as pas niqué que tu deviens cinglé ? – (niquer)
  • Oh, arrête de la ramener, s'il te plaît. – (la ramener)
  • Oh, arrête de la ramener, s'il te plaît. Tout le monde se fout de ta gueule – (se foutre de la gueule de)
  • Je suis allé trop loin, je m'en rends compte, mais je ne peux plus faire marche arrière. – (faire marche arrière)
  • J'ai mal au crâne, mais, dans l'ensemble, ça va. Mon arcade sourcilière me lance. Dans pas longtemps, il y aura une bosse comme un oeuf. – (oeuf)
  • je pourrais surprendre n'importe qui, y compris cette crevure de Xavier s'il vient me chercher. – (crevure)
  • Oh moi, j'ai un peu bu, je crois. Il y avait un pot, au bureau. – (pot)
  • –Vous faites de la boxe ou quoi ? Je prends la balle au bond. –De temps en temps. – (saisir la balle au bond)
  • –Vous avez fait des combats ? –Une dizaine, en amateur. Je réponds ça un peu au hasard, sans faire gaffe, pour ne pas avoir l'air d'un cave – (cave)
  • –Vous aimez la boxe ? –Un peu. / Un peu mon oeil […] celle-là, on dirait bien que ce sont les boxeurs qui lui font de l'effet. – (mon oeil)
  • Je reprends l'entraînement, ces jours-ci. Je vais m'y remettre. –Sérieusement ? –Ouais. Avec un entraîneur à la hauteur, je pourrais remonter, qui sait ? – (à la hauteur)
  • elle finit par articuler une phrase biscornue de laquelle il ressort que ce serait bien si on dînait ensemble un ce des soirs. –Pourquoi pas après-demain ? je réponds du tac au tac. – (du tac au tac)
  • On se dit bonsoir et je rentre à la baraque. Les choses prennent tournure on dirait. Je me demande comment je vais pousser mon avantage. – (66032)
  • j'essaie de me concentrer sur le coup que je veux monter. Je tiens les grandes lignes de mon plan. – (42413)
  • sans parler de la discrétion naturelle de ceux qui s'en vont en vacances quand les autres restent sur le quai à se peler le jonc. – (se peler le jonc)
  • J'ai fait les cent pas toute la journée, trop énervé pour rester assis à compter les minutes et les heures passer. – (faire les cent pas)
  • Je me suis fendu de soixante sacs pour une veste grise qui blousonne, avec des épaules rembourrées et des revers étroits ornés de boutons. – (se fendre)
  • Je me suis fendu de soixante sacs pour une veste grise qui blousonne, avec des épaules rembourrées et des revers étroits ornés de boutons. Ça vaut le fric que j'ai claqué. – (claquer)
  • À dix heures et demie pétantes, je m'éclipse de la baraque sans dire à personne où je vais. – (pétant)
  • L'idéal, ça serait que j'arrive à la niquer dès ce soir. Ça, ça serait vraiment classe. Mais je n'y compte pas trop. – (classe)
  • J'enfile ma veste neuve dans l'ascenseur. Je retire ma combinaison, défroisse mon pantalon, que j'ai gardé dessous, je la mets dans un sac de sport, et je sonne. –Vous êtes d'un chic, Pierre ! –J'allais pas venir en combi, quand même ! – (combi)
  • vous avez changé de coiffure, non ? –Vous aimez ? Elle fait un tour sur elle-même pour que je puisse mieux voir sa permanente et le noeud rouge qu'elle s'est collé dans les tifs. – (tiffes)
  • –C'est celle-là que tu t'es cassée ? Elle me demande ça en prenant ma main droite entre les siennes, alors, évidemment, je réponds que oui, vu que ça aurait été foutrement con de dire « non, c'est l'autre ». – (foutrement)
  • –C'est celle-là que tu t'es cassée ? Elle me demande ça en prenant ma main droite entre les siennes, alors, évidemment, je réponds que oui, vu que ça aurait été foutrement con de dire « non, c'est l'autre ». – (vu que X)
  • Ma main glisse sur sa cuisse, le long de ses bras, et sa jupe remonte. D'un même mouvement, je l'embrasse et je dégage mes mains pour lui peloter les nichons. Il y a du volume. – (peloter)
  • je l'embrasse et je dégage mes mains pour lui peloter les nichons. Il y a du volume. Je me faufile sous son pull et, après quelques ratés, j'arrive à faire sauter le soutif. – (soutif)
  • Je retourne aux seins et je crois bien qu'ils sont pas mal descendus. Tant pis. Et puis j'ai déjà une trique de tous les diables. – (trique)
  • Je retourne aux seins et je crois bien qu'ils sont pas mal descendus. Tant pis. Et puis j'ai déjà une trique de tous les diables. – (de tous les diables)
  • D'ici à ce qu'elle me dise que pas la première fois, qu'est-ce que je vais penser d'elle, il n'y a pas loin, alors je prends les devants. – (d'ici que X y a pas loin)
  • Elle se cambre un peu. Je crois qu'elle va me pomper me dard et je ferme les yeux, mais je les rouvre, parce qu'elle n'a pas l'air de se décider. – (pomper le dard)
  • Elle se cambre un peu. Je crois qu'elle va me pomper me dard et je ferme les yeux, mais je les rouvre, parce qu'elle n'a pas l'air de se décider. Alors je finis de lui enlever sa culotte, je relève sa jupe, et je la fourre, là, sur le canapé. – (fourrer)
  • et je la fourre, là, sur le canapé. Elle commence à haleter, elle serre les dents, elle gémit, mais quand je décharge, je ne peux pas dire si elle a joui. – (décharger)
  • On reste un moment tous les deux allongés sur son lit, à poil. On discute un peu, et on remet ça. – (à poil)
  • On reste un moment tous les deux allongés sur son lit, à poil. On discute un peu, et on remet ça [coït]. – (remettre ça)
  • je la regarde. Je me demande ce qu'elle pense. Elle a l'air déçue. Qu'est-ce que j'y peux, moi ? À quoi elle s'attendait, cette conne ? – (con)
  • En sortant de chez Christine, j'enlève ma veste et je remets ma combinaison. Un bon investissement, cette veste, entre parenthèses. – (39792)
  • Ils ne sont pas raides, ils ont juste bu de quoi avoir chaud. – (raide)
  • –Ça boume, Pierrot ? –C'est le mot. Et vous ? –Pas mal. – (boumer)
  • Si on devait pas tourner quand il fait trop froid ou trop chaud, ça serait génial ! –Ouais ! On le fait déjà pas très souvent, mais alors là… –Et la gueule que ferait Lherbier ! – (faire la gueule)
  • Pas de risque qu'ils te bouffent, tu sens trop le pinard. Ils ont envie de manger, pas de prendre une cuite. – (cuite)
  • –Mais peut-être qu'après on en sera débarrassés ? –Rêve pas, Richard. Faudrait au moins qu'ils tuent un gamin pour ça. – (rêve pas)
  • –Et pourquoi pas [que soit tué leur patron] Lherbier ? –Bonne idée ! Ça nous ferait des vacances. – (faire des vacances)
  • l'autre nuit, il était trois heures du matin, je suis tombé nez à nez avec un type qui rentrait au bercail – (au bercail)
  • l'autre nuit, il était trois heures du matin, je suis tombé nez à nez avec un type qui rentrait au bercail, et il a tellement eu les chocottes en voyant le dogue que j'ai cru qu'il allait éclater en sanglots. – (avoir les chocottes)
  • l'autre nuit, il était trois heures du matin, je suis tombé nez à nez avec un type qui rentrait au bercail, et il a tellement eu les chocottes en voyant le dogue que j'ai cru qu'il allait éclater en sanglots. –Sans blague ? Il était beurré ? –'Sais pas. – (beurré)
  • l'autre nuit, il était trois heures du matin, je suis tombé nez à nez avec un type qui rentrait au bercail, et il a tellement eu les chocottes en voyant le dogue que j'ai cru qu'il allait éclater en sanglots […] il tremblait comme une feuille. – (trembler comme une feuille)
  • je suis tombé nez à nez avec un type qui rentrait au bercail, et il a tellement eu les chocottes en voyant le dogue que j'ai cru qu'il allait éclater en sanglots. […] il tremblait comme une feuille. Y a de ces mecs, je te jure ! – (j'te jure !)
  • Je n'ai rencontré personne. Jusque-là, pas de problème, sauf que je tremble un peu et que mon coeur cogne comme une grosse caisse. – (74586)
  • Les gens croient qu'un tour suffit. S'ils savaient combien le deuxième est emmerdant pour un casseur, ils ne l'oublieraient sûrement pas. – (casseur)
  • Du premier coup d'oeil, ça se voit que les Muller ont du blé. Fauteuils luxueux, canapé en cuir en face d'un téléviseur géant. Tous les signes de la réussite. – (blé)
  • Les deux dernières portes ouvrent ouvrent sur la salle de bains et les gogues. – (gogues)
  • Mon coeur carbure comme une formule 1, et il résonne dans le silence. – (carburer)
  • Je ne peux pas non plus emporter la chaîne hi-fi. Il me faut des bijoux ou du cash, mais il n'y en a nulle part. – (cash)
  • J'enrage tellement que j'ai envie de tout foutre en l'air, tout arracher. J'en chialerais. – (foutre en l'air)
  • Je tiens quelque chose. Là, sous mon nez, dans les rayonnages de la bibliothèque, un livre n'est pas dans l'alignement. – (sous le nez)
  • J'ai déjà vu des bouquins comme celui-là. Je l'attrape. Le Livre des plantes. Le Livres de plantes, mon cul. Je l'ouvre et empoche les deux liasses de billets de cinq cents, sans me poser de question. – (mon cul !)
  • Je dévale l'escalier à toute pompe. – (à toute pompe)
  • J'ai planqué le pognon dans ma voiture. […] Ma caisse, c'est une 504 grise. – (caisse)
  • Je préfère les grosses voitures. Ça vous pose un homme. – (poser qqun)
  • Lherbier et Voltic auront beau jurer leurs grands dieux qu'ils ne sont au courant de rien, ils seront quand même obligés d'étouffer l'affaire, pour ne pas avoir de plus gros problèmes. – (jurer ses grands Dieux)
  • C'est là qu'est le vice : je me glisse dans la nasse, et j'en ressors en douceur. N'importe qui pourrait avoir fait ça et personne n'a intérêt à ce qu'on se mette à fouiner trop en profondeur. Sans compter qu'il n'y a aucune trace de mon passage – (vice)
  • Je n'ai pas commencé à m'en servir. J'attends. Rien ne presse, et je ne veux pas me faire repérer à claquer plus de fric que je ne suis censé en avoir. – (claquer)
  • Cette femme-là, elle est connue dans tout le quartier, et elle a une réputation bien établie. Elle couche tout le temps, avec plein de mecs. – (coucher)
  • Cette femme-là, elle est connue dans tout le quartier, et elle a une réputation bien établie. Elle couche tout le temps, avec plein de mecs. – (plein)
  • Cette femme-là, elle est connue dans tout le quartier, et elle a une réputation bien établie. Elle couche tout le temps, avec plein de mecs. Avec elle, chacun a sa chance. – (74587)
  • Elle couche tout le temps, avec plein de mecs. Avec elle, chacun a sa chance […] nombreux sont ceux qui en profitent, des mecs qui réparent les ascenseurs aux bons pères de famille qui s'offrent un petit cinq à sept quand bobonne n'est pas encore rentrée – (cinq-à-sept)
  • Elle couche tout le temps, avec plein de mecs. […] des mecs qui réparent les ascenseurs aux bons pères de famille qui s'offrent un petit cinq à sept quand bobonne n'est pas encore rentrée du boulot ou déjà repartie faire les courses. – (bobonne)
  • Ce n'est pas une beauté […] Une brune plus très fraîche, plutôt petite et maigrichonne, sans beaucoup de poitrine. Je la vois passer, de temps en temps. Moi, ça me refroidirait, ce genre de plan, mais ce n'est pas le cas de la population mâle du coin. – (plan)
  • Ce n'est pas qu'ils n'ont rien d'autre à se mettre sous la dent, c'est juste qu'ils ne résistent pas à la possibilité de tirer un coup facile, même si la fille n'est pas de première. – (tirer un coup)
  • Ce n'est pas qu'ils n'ont rien d'autre à se mettre sous la dent, c'est juste qu'ils ne résistent pas à la possibilité de tirer un coup facile, même si la fille n'est pas de première. – (de première)
  • Ce n'est pas qu'ils n'ont rien d'autre à se mettre sous la dent, c'est juste qu'ils ne résistent pas à la possibilité de tirer un coup facile, même si la fille n'est pas de première. J'imagine qu'ils se donnent le mot, en copains – (69518)
  • On regarde ses occupants la décharger, détacher les skis de la galerie, et la galerie du toit. –Y en a qui ont du bol, quand même. –Ouais. T'aimes le ski ? –J'en ai pas fait depuis le primaire, avec l'école, et ça ne m'avait pas trop plu. – (bol)
  • –Et ils partent longtemps, en général ? –Huit jours, quinze maximum. Ça raque, les sports d'hiver, tu sais. –Rien que de louer les putains de skis, il paraît que ça coûte un fortune. – (raquer)
  • –Et ils partent longtemps, en général ? –Huit jours, quinze maximum. Ça raque, les sports d'hiver, tu sais. –Rien que de louer les putains de skis, il paraît que ça coûte un fortune. – (74588)
  • Je suis au deuxième niveau des parkins souterrains, le dernier, quand mon talkie-walkie bipe. –Pierre. –Lherbier. Amène-toi. Grouille, bon Dieu. – (se grouiller)
  • mon talkie-walkie bipe. –Pierre. –Lherbier. Amène-toi. Grouille, bon Dieu. Et ça coupe. Je cours vers les ascenseurs. Ça doit salement urger, vu que c'est le chef en personne qui appelle – (urger)
  • Je rédémarre. J'accélère. Il doit y avoir du vilain, pas de doute. – (74589)
  • à ce moment-là, on frappe, et comme la porte est à moitié vitrée, on ne peut pas faire les morts, d'autant que ce sont les condés. – (faire le mort)
  • Il essaie d'engager la conversation avec les cognes. –Vous avez vu la fille ? –Ouais. –Qu'est-ce qu'elle a raconté ? –Elle a décrit Xavier. On attend Rossi pour les interroger tous les deux. – (cogne)
  • Lherbier fume cig sur cig. Il l'a mauvaise, et c'est après Xavier qu'il en a, ça se voit à l'oeil nu. – (cig)
  • Lherbier fume cig sur cig. Il l'a mauvaise, et c'est après Xavier qu'il en a, ça se voit à l'oeil nu. – (l'avoir mauvaise)
  • Lherbier fume cig sur cig. Il l'a mauvaise, et c'est après Xavier qu'il en a, ça se voit à l'oeil nu. – (73469)
  • Quand je dis que des types comme lui sont des dangers publics, je ne me trompe pas. Le problème, c'est qu'ils font des conneries telles qu'ils foutent tout le monde dans la panade. – (panade)
  • Xavier peut bien en prendre pour vingt piges si ça lui chante, tout ce qu'on lui demande, c'est de ne pas bousiller le bizness. – (74591)
  • Il a expliqué qu'il l'avait trouvée comme ça, plutôt mal en point, sur le sol en ciment des caves, la jupe arrachée, et lorsqu'il s'était approchée d'elle et l'avait touchée, pour lui demander si ça allait, elle s'était mise à hurler. – (62933)
  • C'est bien son genre, de violer une fille […] Lherbier et Voltic, qui a rappliqué entre-temps, se sont éloignés avec Rossi. Ils prennent la défense de Xavier, à tous les coups. Si l'un de nous tombe […] il y a des chances qu'on y passe tous. – (à tous les coups)
  • C'est bien son genre, de violer une fille […] Lherbier et Voltic, qui a rappliqué entre-temps, se sont éloignés avec Rossi. Ils prennent la défense de Xavier, à tous les coups. Si l'un de nous tombe […] il y a des chances qu'on y passe tous. – (il y a des chances)
  • Combien de temps il est parti ? –Vingt minutes, en gros. – (en gros)
  • Il n'a pas l'air convaincu à cent pour cent. – (à cent pour cent)
  • Xavier dit ça en regardant le flic droit dans les yeux. C'est du chiqué, mais ça a l'air de prendre. – (chiqué)
  • Xavier dit ça en regardant le flic droit dans les yeux. C'est du chiqué, mais ça a l'air de prendre. – (prendre)
  • Maintenant, j'y vois plus clair. Je comprends pourquoi Lherbier a dit a Jean de décamper. – (54338)
  • Vis-à-vis des flics, c'était plus dur de faire passer qu'on était trois, il y avait plus de chances que l'on se coupe, à un moment ou à un autre, et ça, ça aurait été le début des emmerdes. – (se couper)
  • Vis-à-vis des flics, c'était plus dur de faire passer qu'on était trois, il y avait plus de chances que l'on se coupe, à un moment ou à un autre, et ça, ça aurait été le début des emmerdes. – (emmerdes)
  • En tout cas, Jean a eu du bol de se tailler. Il a évité un sacré merdier. – (se tailler)
  • les flics ont fini leur conciliabule. –Bon. On va voir comment tout ça se goupille. La fille n'a pas porté plainte, pour le moment, mais ça pourrait venir. – (goupiller)
  • On a eu une plainte pour un cambriolage […]. Du fric. Ils disent qu'ils se sont fait barboter un petit paquet. – (barboter)
  • Xavier n'a pas le temps de finir. Lherbier lui balance une baffe du revers de la main, en plein sur le pif. – (baffe)
  • Xavier n'a pas le temps de finir. Lherbier lui balance une baffe du revers de la main, en plein sur le pif. – (pif)
  • Xavier bafouille comme ça quelques instants. Je décapsule une cannette de bière. Le bruit interrompt Xavier, et je suppose qu'il se sent encore plus merdeux. – (se sentir merdeux)
  • Les flics aussi ont été efficaces. Ils ont enterré le dossier. Rien à craindre de ce côté-là, c'est l'essentiel. C'est vrai qu'au fond, c'était la parole de Xavier contre celle de cette fille. – (enterrer)
  • C'étaient des mecs normaux, ou en tout cas des mecs sur lesquels ce n'était pas écrit, que c'étaient des détraqués. – (écrit sur qqun)
  • Il l'a suivie dans l'ascenseur, et là, il a commencé à la tripoter et à se désaper. – (désaper)
  • il en est arrivé une bonne à Raphaël, un ancien vigile. – (une bien bonne)
  • La fille a fait un tel scandale que Raphaël s'est fait virer. Personne n'a pu rattraper le coup, cette fois-là. – (74594)
  • Maintenant que j'ai un peu de blé devant moi, je peux voir venir. – (64216)
  • Maintenant que j'ai un peu de blé devant moi, je peux voir venir. – (voir venir)
  • En plus, on n'aura plus l'occasion de se remplir les poches avant longtemps, alors je pourrais aussi bien quitter le navire. Recommencer ailleurs, pourquoi pas ? – (quitter le navire)
  • J'avais l'impression que ça commençait à sentir le roussi. –Tu l'as dit. Un peu plus, et on était marron. – (tu l'as dit)
  • J'avais l'impression que ça commençait à sentir le roussi. –Tu l'as dit. Un peu plus, et on était marron. – (marron)
  • l'intérêt de chacun est le même que celui du groupe : que les flics ne mettent pas trop leur nez dans nos affaires. – (mettre son nez dans)
  • Lherbier me propose un cigare. Je ne me fais pas prier. Il est déjà en train de téter le sien quand je peine à allumer le mien. – (35185)
  • –Qui parle de quinze mille, chef ? J'ai jamais palpé autant. – (palper)
  • –Qui parle de quinze mille, chef ? J'ai jamais palpé autant. […] –Me prends pas pour un âne. La plainte parle d'un bâton et demi. – (74595)
  • –Qui parle de quinze mille, chef ? J'ai jamais palpé autant. […] –Me prends pas pour un âne. La plainte parle d'un bâton et demi. – (bâton)
  • Écoute, c'était pas mal vu, mais ça a foiré. Je sais. Tout ce qu'il te reste à faire, c'est te mettre à table et me dire où est le blé. – (se mettre à table)
  • Et en plus, je ne suis pas gourmand. La moitié, c'est tout ce que je demande. Comme une commission, avec une amende pour pas m'avoir mis dans le coup au départ. C'est de bonne guerre, non ? – (de bonne guerre)
  • Je ne dis rien. J'ai la gorge serrée, et pour un peu j'en chialerais. Tout tombe en quenouille. – (en quenouille)
  • Tu t'imagines que tout le monde ici sera content de savoir que tu fais de jolis coups en solo, sans mettre personne dans la combine et sans rien partager ? – (en solo)
  • Tu t'imagines que tout le monde ici sera content de savoir que tu fais de jolis coups en solo, sans mettre personne dans la combine et sans rien partager ? – (combine)
  • Tu t'imagines que tout le monde ici sera content de savoir que tu fais de jolis coups en solo, sans mettre personne dans la combine et sans rien partager ? J'en connais quelques-uns que ça pourrait mettre en rogne, parole. – (parole)
  • Avec moi, c'est la sécurité. Tu me files un morceau du magot et baste, on n'en parle plus. Tout ça reste entre nous. – (bast !)
  • Où ? Chez toi ? –Oui. –Allons-y maintenant. Laissons pas refroidir. On prend ta voiture. – (74596)
  • Là, tu as montré que tu étais rapide, que tu avais de la ressource et du sang froid. Alors je me suis dit que tu pouvais avoir eu cette idée, et les couilles de la mettre en pratique. – (avoir des couilles)
  • Ça veut dire que vous auriez aussi bien pu vous tromper. –C'est vrai. Je n'étais pas sûr à cent pour cent, mais plus ça allait, et plus je sentais que j'étais dans le vrai. – (à cent pour cent)
  • Ça veut dire que vous auriez aussi bien pu vous tromper. –C'est vrai. Je n'étais pas sûr à cent pour cent, mais plus ça allait, et plus je sentais que j'étais dans le vrai. – (54267)
  • Il dégaine son flingue. Il le garde dans sa grosse pogne. Ce fumier ne prend aucun risque, il ne me laisse aucune chance. – (pogne)
  • Il dégaine son flingue. Il le garde dans sa grosse pogne. Ce fumier ne prend aucun risque, il ne me laisse aucune chance. –Joue pas au con, pigé ? – (jouer au con)
  • Tu bosses demain soir, à neuf heures tapantes. Sinon c'est la porte. – (tapant)
  • Tu bosses demain soir, à neuf heures tapantes. Sinon c'est la porte. – (la porte)
  • S'il passe, il aura une surprise, et merde pour les conséquences. Je rumine ma vengeance – (merde pour)
  • Le type allongé par terre sur le palier du bâtiment 3 est un clodo, aucun doute là-dessus. Ses fringues sont râpées et trouées, il a des gants dépareillés et plusieurs doigts en dépassent, nus. – (clodo)
  • Je lui balance mon pied dans le bide, assez fort. Il pousse un grognement et lève la tête vers moi. – (bide)
  • On tombe parfois sur des clochards qui nous disent qu'on ne doit pas porter la main sur eux, qu'ils ont des droits et autres conneries de la même eau, mais celui-là, il ne la ramène pas. – (de la même eau)
  • On tombe parfois sur des clochards qui nous disent qu'on ne doit pas porter la main sur eux, qu'ils ont des droits et autres conneries de la même eau, mais celui-là, il ne la ramène pas. – (la ramener)
  • Je tends l'oreille. J'entends, de plus en plus distinctement, des cris. Des cris de femme. – (tendre l'oreille)
  • Je tends l'oreille. J'entends, de plus en plus distinctement, des cris. Des cris de femme. Je me mets à courir dans leur direction. Au détour d'un couloir, je trouve Xavier en train d'essayer de monter une fille. Il lui a déjà arraché froc et culotte – (monter)
  • Je tends l'oreille. J'entends, de plus en plus distinctement, des cris. Des cris de femme. Je me mets à courir dans leur direction. Au détour d'un couloir, je trouve Xavier en train d'essayer de monter une fille. Il lui a déjà arraché froc et culotte – (froc)
  • Je prends un deuxième coup en pleine poire. Je m'écroule sur le côté. – (poire)
  • Tu vois, Pierre, tu devrais pas t'attaquer à plus fort que toi, ça te vaut rien. Regarde Lherbier : il t'a piqué ton fric et t'as rien dit. Une vraie lavette. Comment tu veux qu'on te respecte ? – (lavette)
  • Tu devrais pas essayer de monter des combines tout seul, si tu veux mon avis. Ni te frotter à moi. T'es pas de taille. – (s'y frotter)
  • tout seul, tu vaux rien. Exemple : tu t'en prends à moi, mais c'est pas très raisonnable. Tu te surestimes. Regarde où ça te mène, tes idées à la con. – (à la con)
  • J'essaie d'attraper ma lame, dans ma poche, mais il ne me quitte pas de l'oeil. – (lame)
  • J'essaie d'attraper ma lame, dans ma poche, mais il ne me quitte pas de l'oeil. Ça va être dur de la sortir – (46099)
  • Il m'envoie sa godasse en pleine face. Et dans le ventre. – (face)

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