Annonce amicale : 30 jours pour jacter comme mézigue, de Sylvain Vanderesse, est paru.
Mots croisés et autres jeux à gogo.
Aux éditions de l'Opportun.
Citations relevées dans “Journal d'un officier de liaison. (La Marne - La Somme - L'Yser)” (1917)
Cette page réunit toutes les citations relevées dans Journal d'un officier de liaison. (La Marne - La Somme - L'Yser), avec l'entrée qui y est attachée.
- cavaliers de Lorraine […] à vous chasseurs et hussards que les Allemands effrayés avaient surnommés les diables bleus. C'est en effet vous, les vrais diables bleus du début, vous qui bondissiez sur les patrouilles – (diable bleu)
- son père, voulant garder le foyer familial, était resté chez lui ; il doit être entre les mains des Allemands. – (67101)
- Je vois des G.V.C. qui gardent d'un air débonnaire les ponts et les passages à niveau. En fait d'uniformes, ils ne possèdent qu'un képi – (G.V.C.)
- L'administration a tout prévu, sauf le grain de sable qui détraque la machine. Dans la circonstance, le grain de sable, l'imprévu, c'est simplement l'invasion étrangère. – (grain de sable)
- je m'endors du sommeil du juste dans la satisfaction du devoir accompli. – (du sommeil du juste)
- Comme le train militaire ne part que demain matin vers cinq heures, je suis libre. Je suis heureux comme un collégien à son jour de sortie. – (67102)
- En face de la gare il y a un estaminet, où le dimanche les jeunes gens se réunissent pour danser – (estaminet)
- Il marchait au pas, lorsqu'il fut dépassé par une automobile d'un modèle ancien, dit moulin-à-café. – (moulin-à-café)
- Il a l'air un peu gêné sur un grand cheval de pur sang qui rue au sabre et me paraît avoir beaucoup plus l'habitude du turf que celle des champs de bataille. – (67104)
- Le village a été occupé deux jours par les Allemands. Il est pillé dans toutes les règles de l'art. – (dans les règles de l'art)
- Excusez-moi, mon lieutenant, j'étais esquinté, je dormais – (esquinté)
- Tu as été ordonnance ? –Non, j'ai jamais eu l'occasion. –Eh bien, nous allons essayer : je te prends comme tampon. – (tampon)
- Je suis étonné de voir engager les "gros-frères", car d'habitude on les laisse en réserve. Bardés de fer, armés de longues lattes, pesants sur des chevaux eux-mêmes lourds et puissants, les cuirassiers donnent l'impression de la force – (gros frère)
- je me demande si, lorsque les cuirassiers donneront le grand coup, nous, modestes dragons déjà fortement houspillés, nous ne serons pas aussi dans la mêlée ! – (67105)
- Un épicier qui prend le frais devant sa boutique […] – (67106)
- l'ennemi ne se laisse pas accrocher. – (accrocher)
- en portant deux bouteilles de champagne encore couvertes de terre. Avec un rire clair, elle ajoute en les mettant sur la table : "Encore deux que les Prussiens n'auront pas." – (encore un que les X n'auront pas)
- Je reçois l'ordre de les trouver. –Mais où ? –Débrouillez-vous… Le système D ! – (système D)
- Les shrappnels éclatent, de « gros noirs ». – (gros noir)
- Monsieur le curé est un brave homme qui nous invite à prendre un petit verre, avant de nous coucher. Mon estomac se refusant à ce genre de sport, je le remercie et me contente de l'écouter. – (sport)
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