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Citations relevées dans “Le beau Narcisse - comédie-vaudeville en un acte” (1862)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Le beau Narcisse - comédie-vaudeville en un acte, avec l'entrée qui y est attachée.

  • C'est-y donc chez sa modisse que madame a envoyé Narcisse ? – (modisse)
  • Est-ce qu'il lui serait arrivé un assident, par hasard ? –Qu'est-ce que vous dites donc là ? –Té !… Il faut si peu de chose !… Un pot de fleurs, une cheminée, une voiture qui vous passe dessus. – (té !)
  • C'est moi Narcisse le chasseur ! / Des chasseurs Narcisse est la fleur ! – (fleur de)
  • Ouf ! les jambes me rentrent dans le creux de l'estomac, savez-vous ? – (les jambes rentrent dans le creux de l'estomac)
  • –Et vous avez gagné ? –Non, j'ai été rossé à plate couture ! – (à plate couture)
  • Oui, je vous crois moins serine que la femme de chambre, vous ! – (serin)
  • J'ai appris hier une foule de choses, en écoutant à la porte du salon – (une foule de)
  • Et ce monsieur, qui fait des embarras comme un huissier ! – (faire des embarras)
  • Quand ell' fait la sucrée, / En s'pavanant dans ses salons, / C'est une assiette parée, / Entourée d'cornichons ! – (faire sa sucrée)
  • Ah ! ah ! j'en ris à gorge d'employé ! – (à gorge déployée)
  • N'en servez que six [tartelettes]. Le cousin de madame les dévorerait toutes, savez ! Il mange comme une autruche, ce cousin. –Soit ! vous en aurez six pour vous... – (manger comme une autruche)
  • C'est que je suis jalouse de cette blondasse de Marguerite – (blondasse)
  • C'est que je suis jalouse de cette blondasse de Marguerite qui vous regarde avec des yeux de merlan frit… Que cela m'agace, que cela m'agace !… – (yeux de merlan frit)
  • Que voulez-vous ! Je ne peux pas empêcher les femmes de me courir après... – (courir après qqun)
  • Il m'aime et il m'embrasse… c'est simple comme bonjour, donc ! – (simple comme bonjour)
  • Tron de l'air ! Mais, alors, c'est un coquin ! – (troun de l'air !)
  • Et moi... bestiasse... qui lui faisais des chatteries !... Viens donc m'en demander, des tartelettes... brigand ! – (bestiasse)
  • Vous connaissez mon caractère... je suis de Midi, moi... franche comme l'osier. – (franc comme l'osier)
  • Mariez-vous donc [avec une blonde], pour avoir des albinos pour enfants !... ça sera la famille des fadasses... Grand bien vous fasse, monsieur et madame Filasse ! – (57346)
  • Tais-toi !... ou je te tombe un soufflet que la terre t'en rendra un autre ! – (tomber qqchose à qqun)
  • Grand lâche !... grand flandrin !... grand paresseux !... Tu as tous les vices... – (flandrin)
  • Eh bien, voyons, qu'est-ce qu'il y a ?… En fait-on un boucan dans mon appartement ! – (boucan)
  • Je vous ai appelé trois fois, et vous n'étiez pas à la boutique… Qu'est-ce que je dis, à la boutique… à l'antichambre ! Où vous étiez-vous donc fourré ? – (être fourré qqpart)
  • Quand on vous remet une lettre pour votre maîtresse, vous devez la lui donner tout de suite, et ne pas la laisser moisir dans votre poche ! – (moisir)
  • Toujours des bourrades ! Ah ! quel triste sort, que celui d'un homme à gages ! – (58136)
  • –En vérité, cousine, vous êtes, pour ce grand escogriffe, d'une indulgence inouïe ! –Escogriffe ! Le mot est un peu dur ! Narcisse n'est pas seulement un très-beau chasseur… c'est un garçon très-dévoué, très-exact et très-adroit ! – (escogriffe)
  • Mais pourquoi tenez-vous à ce qu'il soit barbu comme un moujik, et vêtu comme un musicien de cirque ambulant ? – (barbu comme un moujik)
  • Il est vêtu en chasseur. Sa livrée est en rapport avec ma fortune... J'ai voulu avoir un chasseur, ça fait bien... ça fait du froufrou. –Ça faisait du froufrou il y a trente ans ; mais à présent, on n'a plus de chasseur, c'est passé de mode. – (frou-frou (faire du -))
  • Pouah ! qu'est-ce qu'elle a mis là-dedans ?... ça emporte la bouche... […] N'en mangez pas, ma cousine, on dirait qu'on avale du plomb fondu... – (58138)
  • J'ai, que je comptais sur quelques tablettes, et que ce vorace va les engloutir de fond en comble ! – (58139)
  • J'ai, que je comptais sur quelques tablettes, et que ce vorace va les engloutir de fond en comble ! – (engloutir)
  • Narcisse, c'est très-vilain d'être ainsi sur sa bouche ! – (être sur sa bouche)
  • Oh ! fi ! Narcisse, c'est très-vilain d'être ainsi sur sa bouche ! – (58141)
  • je n'ai encore rien pris depuis la dernière fois que j'ai mangé… Si bien que je ne sais pas comment j'ai fait… mais j'ai respiré les deux tartelettes, ne croyant pas mal faire… – (respirer)
  • Nous savons que c'est douloureux, les crampes d'estomac. –Ah ! oui, ça fait bien du mal au creux. – (creux)
  • vous vous rappelez le caractère de mon mari ? Brusque, on peut même dire brutal, il fallait courber la tête dès qu'il avait décidé n'importe quoi. Si je me hasardais à émettre une opinion, il me répondait que j'étais une oie. – (oie)
  • vous vous rappelez le caractère de mon mari ? Brusque, on peut même dire brutal, il fallait courber la tête dès qu'il avait décidé n'importe quoi. – (courber la tête)
  • Qu'avez-vous donc, Charlotte, pour entrer ainsi comme un coup de vent ? – (en coup de vent)
  • quant à moi, j'ai fort à me plaindre du détestable déjeuner que vous m'avez servi ce matin. –Je sais qu'il ne valait pas tripette – (ne pas valoir tripette)
  • La tête me craque, elle est complètement à l'envers... il faut donc que je sorte de la maison ; si j'y restais, il arriverait un assident ; je me tuerais, moi et d'autres... – (tête à l'envers)
  • Et que vous aurez raison, en campant cette engeance maudite à la porte – (camper à la porte)
  • Jolis domestiques, oui ! paresseux comme des couleuvres, et curieux comme des singes. – (paresseux comme une couleuvre)
  • Jolis domestiques, oui ! paresseux comme des couleuvres, et curieux comme des singes. – (curieux comme un singe)
  • ils écoutaient à la porte […] Jolis domestiques, oui ! – (joli)
  • Je suis de Midi, moi… Prenez garde que je vous tombe une gifle ! – (soufflet)
  • Elle n'est point ma bonne amie, elle est ma fréquentée... […] c'est bien différent !… On badine avec une bonne amie, on épouse une fréquentée. – (38444)
  • Elle n'est point ma bonne amie, elle est ma fréquentée... […] c'est bien différent !... On badine avec une bonne amie, on épouse une fréquentée. – (fréquentée)
  • Je ne veux pas qu'on se marie chez moi… Les ménages sont la plaie des maisons. – (plaie)
  • Oh ! vous m'impatientez ! […] vous me rompez la tête, vous !... Vous m'agacez les nerfs ! – (rompre la tête)
  • Je n'aime pas qu'on réponde… laissez-moi… sortez ! mais sortez donc ! –C'est son vertigo qui lui reprend… venez… – (vertigo)
  • Madame me voit d'un mauvais oeil depuis ce matin… elle me parle avec aigreur… savez !… et elle écrit à ce francillon de Blanchet, qui est mon ennemi acharné ! [c'est un Belge qui parle] – (francillon)
  • Peut-être bien qu'elle lui dit qu'elle va me ficher dehors… – (foutre dehors)
  • C'est une bête de mode que celle des enveloppes... On ne peut plus lire les lettres qu'en les entr'ouvrant. –Donnez ça... Décidément, vous n'avez pas inventé les pains à cacheter. Vous sauriez qu'ils restent humides assez longtemps – (ne pas avoir inventé les pains à cacheter)
  • Êtes-vous fûté ! Le diable ne vous en remontrerait pas. – (futé)
  • Seigneur du ciel ! qu'ai-je lu ! Est-il possible ! – (seigneur du ciel !)
  • –Eh bien ! on ne m'embrasse pas ? –Si !... si !... (Il l'embrasse.) –Adieu, mon toutou ! –Adieu, ma poule argentée ! – (mon toutou)
  • Madame m'aime, savez-vous !… Encore une que j'ai étourdie par mon chic ! – (chic)
  • Oui, un déguisement dans lequel il fallait entrer pour m'introduire chez vous, pour vous voir, pour être votre esclave, votre petit nègre blanc... J'étais un faux chasseur... J'appartiens à une des premières familles de la Belgique – (58153)
  • je suis t'un lion, comme ceux que tu vois sur le boulevard des Italiens... – (lion)
  • je croyais m'être adressée à un homme, je n'avais affaire qu'à un polichinel. – (polichinelle)
  • Monsieur !... Prenez garde ! vous me feriez sortir de mon caractère. – (faire sortir de son caractère)
  • Allons, touchez là ! (Il lui tend la main.) Vous plaisez à ma cousine… eh bien, comme vous disiez, soyons cousins ! – (toucher là)
  • Voici ma malle… afin que madame puisse visiter mes effets et me payer mon compte. Après quoi je déménage de cette cassine sans demander mon reste… – (sans demander son reste)
  • Ah ! pourtant, avant que de m'en aller, j'aurais eu du plaisir à lui planter mes ongles dans la face, à cette bagasse ! – (bagasse)
  • –Je prétends faire la visite de ma malle. –Ques-à-quo ? Vous partez donc aussi ? – (quésaco)
  • Ah ! le pendard !... J'en tombe de ma hauteur à la renverse. – (en tomber de sa hauteur à la renverse)
  • Il m'a plantée là comme un bout de cigare… – (planter là)
  • Ce Narcisse est une fière canaille, entre nous ! – (fier X)
  • Vous ne pourriez jamais [faire une action violente], parce que vous êtes blonde, ma chère, et que c'est du bouillon aux herbes qui coule dedans vos veines... – (bouillon aux herbes qui coule dans les veines)
  • Tenez, voyez-vous, s'il venait en ce moment, ce Narcisse... je crois que je retournerais comme un gant ! Il recevrait trente six mille calottes, que la peau lui en fumerait !... Je le briserais comme cette soucoupe et cette tasse. – (retourner qqun comme un gant)
  • Tenez, voyez-vous, s'il venait en ce moment, ce Narcisse... je crois que je retournerais comme un gant ! Il recevrait trente six mille calottes, que la peau lui en fumerait !... Je le briserais comme cette soucoupe et cette tasse. – (trente six mille)
  • Tenez, voyez-vous, s'il venait en ce moment, ce Narcisse... je crois que je retournerais comme un gant ! Il recevrait trente six mille calottes, que la peau lui en fumerait !... Je le briserais comme cette soucoupe et cette tasse. – (58159)
  • –Vous n'êtes pas polies avec moi… –Pardine ! faut-il pas remercier madame quand elle nous enlève notre amoureux ? – (pardine !)
  • Sac à papier !... trente-six mille gibernes !... on me prend donc pour un dindon, ici ? – (nom de nom d'une giberne !)
  • C'est vrai que j'allais patauger... On sent ça... On commence une phrase... et puis... vsittt !... – (vsittt !)
  • C'est vrai que j'allais patauger… On sent ça… On commence une phrase… et puis… vsittt !… – (patauger)

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