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Citations relevées dans “Bistrots” (1960)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Bistrots, avec l'entrée qui y est attachée.

  • En louchebem (ce langage particulier aux bouchers) mastroquet devient listroquem – (listroquem)
  • près de la caisse de préférence, avec le siphon drapé dans son treillage d'argent ou plus simplement avec l'aquarium du poisson rouge qui répond souvent au prénom de Victor – (Victor)
  • Le boulevardier, c'est-à-dire celui qui cherche à passer son temps, se reposera là pour rythmer son rêve aux flons-flons des valses passées – (boulevardier)
  • Ici on peut apporter son manger… Téléphone, consigne au sous-sol, autant d'étiquettes, d'affiches, de raisons sociales. Vins, bois, charbons, prix d'été, le bougnat présente ses offres de service, il n'y a pas à se tromper – (bougnat)
  • Le bougnat, tout simplement l'auvergnat qui tient à la fois commerce de boissons et de charbons. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le bougnat est une figure essentiellement parisienne. Sa boutique se reconnaît immédiatement. Étroite en principe – (bougnat)
  • si «le sourire est de rigueur», le patron qui sort toujours vainqueur de n'importe quel tournoi affirme que dans son établissement «les torpilleurs (mendiants) sont priés de croiser au large» – (torpilleur)
  • Quand il demande à boire, il annonce la couleur et s'il consomme toujours la même chose, il n'en change pas – (ne pas changer de couleur)
  • sans pour cela être un pochard c'est-à-dire un nez sale – (nez sale)

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