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Citations relevées dans “La délivrance de Noyon” (1917)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans La délivrance de Noyon, avec l'entrée qui y est attachée.

  • C'est peu, mais on s'en contentera ; à la guerre comme à la guerre – (à la guerre comme à la guerre)
  • Ils auraient volontiers déclaré comme votre roi Louis XV : « Après nous, le déluge » – (après moi le déluge)
  • Alors, c'est vrai qu'on y va ? dit un cavalier qui, assis dans un coin, était en train de vérifier sa carabine. Les Boches mettent les cannes ? – (mettre les cannes)
  • je ne dis pas, on a marché un peu, mais après on est tombé sur un bec de gaz – (tomber sur un bec de gaz)
  • i's ont les foies, pa'ce qu'i'savent que nous avons de l'artillerie à n'en plus finir – (41637)
  • de l'artillerie à n'en plus finir, et de la petite, et de la grosse, et de la moyenne, et puis des tanks et un tas de bastringues, et les Anglais aussi – (bastringue)
  • Avec ça qu'ils n'en ont pas, eux, des canons et des munitions et tout le fourbi arabe que tu viens de dire – (fourbi arabe)
  • j'ai été pris sous un éboulement ; sans Morel qui m'a tiré de là, j'étais cuit – (cuit)
  • le bruit d'une nouvelle détonation se mêla au son de sa voix. Le cheval se cabra, l'homme vida les étriers – (vider les étriers)

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