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Citations relevées dans “J'ai descendu mon premier Boche” (1919)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans J'ai descendu mon premier Boche, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Combat. Un fokker descendu ; mais deux balles dans son réservoir à essence, trois cordes à piano coupées ; l'observateur tué raide sur son siège – (corde à piano)
  • Combat. Un fokker descendu ; mais deux balles dans son réservoir à essence, trois cordes à piano coupées ; l'observateur tué raide sur son siège – (descendu)
  • pour comble de malechance, […] une belle panne moteur l'obligeait à descendre en vol plané. C'était au-dessus de nos lignes. Mais l'atterrissage fut malheureux. Ferrand se «retourna les pinceaux» dans un trou d'obus – (se retourner les pinceaux)
  • Ferrand était une âme brave, «un dur», un sans-peur, je le savais – (sans-peur)
  • C'est un type. Et un as. L'as des as des moniteurs – (as des as)
  • C'est un type. Et un as. L'as des as des moniteurs. Ses méthodes d'enseignement donnent des résultats stupéfiants. Ah ! par exemple, avec lui, pas de «rousse». Il faut filer droit – (rousse)
  • C'est un type. Et un as. L'as des as des moniteurs. Ses méthodes d'enseignement donnent des résultats stupéfiants. Ah ! par exemple, avec lui, pas de « rousse ». Il faut filer droit – (filer droit)
  • Je dormis pendant huit heures comme un plomb – (dormir comme un plomb)
  • je crois que vous avez l'étoffe dont on fait les bons pilotes de chasse – (avoir l'étoffe de)
  • Deux petites bûches seulement ; deux petites bûches de rien du tout. La première se caractérisa par le « fauchage » complet du train d'atterrissage de mon appareil et quelques écorchures sans aucune gravité – (bûche)
  • lorsque mes camarades de l'école, pilotes, mécanos et « rampants » arrivèrent tout essoufflés […] pour « me ramasser avec une petite cuillère », j'étais debout – (rampant)
  • lorsque mes camarades de l'école, pilotes, mécanos et « rampants » arrivèrent tout essoufflés […] pour « me ramasser avec une petite cuillère », j'étais debout – (être à ramasser à la petite cuiller)
  • C'est bon, c'est bon, grogna Mikaël en essuyant sa face en sueur, ne fais pas « le mariolle ». « Il ne faut jamais plaisanter avec la mort ; il y en a de plus malins que toi qui se laissent « poisser » par elle, chaque jour » – (mariole)
  • C'est bon, c'est bon, grogna Mikaël en essuyant sa face en sueur, ne fais pas « le mariolle ». « Il ne faut jamais plaisanter avec la mort ; il y en a de plus malins que toi qui se laissent “poisser” par elle, chaque jour » – (poisser)
  • L'hélice réduite en morceaux, le radiateur faussé, l'avant du train d'atterrissage «fusillé» ; le moteur seul n'avait pas trop souffert – (fusillé)
  • accidents de ce genre soient fréquents dans une école d'aviation importante […] le lieutenant Picard et le commandant « me passèrent à la toise ». Mon chef de division, en particulier, me traita avec une dureté où l'on sentait percer toute sa désillusion – (toise)
  • Quand on « ne se sent plus », on demande à passer « dans les services », conclut-il. On ne continue pas à encombrer la cinquième arme d'une présence trop onéreuse à l'État – (ne plus se sentir)
  • deux stupides accidents presque coup sur coup comme si j'étais la plus quelconque des « nouilles » ou « le plus empoissardé des poissards » – (nouille, poissard, empoissardé)
  • Quand le chef de pilotage appelait un pilote mousquetaire, celui-ci pouvait se rengorger. On ne savait trop pourquoi il l'appelait ainsi. Mais cela voulait dire : «Celui-là est un fameux !» – (mousquetaire)
  • Ce mousquetaire-là « s'est posé comme une fleur » et est reparti tel un « zoiseau » disait le chef de pilotage – (se poser comme une fleur)
  • avait conquis ses deux « ficelles », neuf palmes, la médaille militaire et le ruban rouge à coups d'actions aventureuses – (ruban rouge)
  • je piquai devant moi dans une descente vertigineuse de plus de quatre cent mètres. Un coup d'oeil sur mon badin : 1.100 mètres – (41507)
  • Déjà à travers les puissants ronflements de moteurs, je percevais les « rran… tac tac tac tac » des mitrailleuses – (rran... tac tac tac tac)
  • résonnait à mon oreille le « ta ta tac » de la mitrailleuse manoeuvrée par mon observateur – (rran... tac tac tac tac)
  • Je souffrais beaucoup. –Saperlotte ! la douleur que je ressens au pied va-t-elle m'obliger à m'évanouir comme une femmelette ? – (saperlotte !)
  • Je souffrais beaucoup. –Saperlotte ! la douleur que je ressens au pied va-t-elle m'obliger à m'évanouir comme une femmelette ? – (femmelette)
  • Eh bien, lui demandai-je, et vos petites affaires ? -Sincèrement, chère madame, vous me gênez... -C'est trop fort ! moi, une dame ! Est-ce que je ne sais pas ce que c'est ? – (bébête)

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