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Citations relevées dans “Sur la frontière espagnole, dans Panorama de la pègre” (1936)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Sur la frontière espagnole, dans Panorama de la pègre, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Nous ne pouvions plus tenir, explique l'un d'eux, un gringalet gesticulant dans un groupe – (gringalet)
  • on nous a fait faire des marches et des travaux, on nous a esquintés et nous avons été finalement roulés – (esquinter)
  • Comment voulez-vous, cher monsieur, que les touristes étrangers viennent en France avec les grèves sur le tas au mois de juin – (grève sur le tas)
  • Et pourquoi fermer la frontière à mes pigeons et l'ouvrir aux anarchistes de Barcelon et aux prétroleurs d'Irun ? – (pétroleur)
  • Vous n'y êtes pas du tout, mon vieux, et je vous le donne en mille ! [suit explication] – (le donner en mille)
  • En somme, il n'y a qu'une seule façon de recouper tous ces bruits qui circulent et tous ces canards qui paraissent dans les journaux – (canard)
  • Les miliciens ont tous cané, ils se sont sauvés comme des lapins. Il n'y a que les anarchistes qui tiennent le coup – (tenir le coup)
  • on se rend compte que la politique en Espagne c'est un fourbi arabe auquel personne ne comprend rien – (fourbi arabe)
  • Tout le restant ne sont que du « on dit » et des bobards – (on dit)
  • Tout le restant ne sont que du « on dit » et des bobards – (bobard)

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