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Citations relevées dans “Les galanteries de Thérèse, dans Anthologie érotique - XVIIIe siècle” (1745)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Les galanteries de Thérèse, dans Anthologie érotique - XVIIIe siècle, avec l'entrée qui y est attachée.

  • Dès que je fus placée, je devins le but de tous les lorgneurs professionnels – (lorgneur)
  • Que faire dans cette conjoncture ? Les prendre tous les quatre ? La pensée m'en vint d'abord, mais la chose n'était pas praticable ; il fallait décemment choisir. A qui donner la pomme ? Je balançai – (offrir la pomme)
  • des auteurs de tous étages et de toutes couleurs, qui savent égayer la fin d'un repas par des ponts-neufs d'une naïveté admirable – (pont-neuf)
  • de ces plaisants par métier, inépuisables en pointes, qui possèdent à fond la science des quolibets tant vieux que nouveaux, et qui savent leur halle sur le bout des doigts – (26468)
  • de ces plaisants par métier, inépuisables en pointes, qui possèdent à fond la science des quolibets tant vieux que nouveaux, et qui savent leur halle sur le bout des doigts – (sur le bout des doigts)
  • On avait substitué à la place du vin d'Avenay ou d'Ay une boisson maudite, dont pour mes péchés l'usage m'était devenu familier depuis quelques jours. […] c'était de l'eau de douleur de Cythère, breuvage de pénitence, dont on punit les excès de l'Amour – (eau de douleur de Cythère)

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