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Citations relevées dans “Cour d'assises de la Seine (reconstitution d'après Gazette des Trib., la France, le Bon Sens des 13, 14, 15 nov. 1835), dans Mémoires de Lacenaire, avec ses Poèmes et ses Lettres, suivis de Témoignages, Enquêtes & Entretiens présentés par Monique Lebailly” (1835)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans Cour d'assises de la Seine (reconstitution d'après Gazette des Trib., la France, le Bon Sens des 13, 14, 15 nov. 1835), dans Mémoires de Lacenaire, avec ses Poèmes et ses Lettres, suivis de Témoignages, Enquêtes & Entretiens présentés par Monique Lebailly, avec l'entrée qui y est attachée.

  • « […] Tout ce que dit Lacenaire est faux, reprend-il : j'ignore le motif qui le porte à me charger ainsi. C'est un comtois que dit Lacenaire ». À ce mot d'argot qui signifie mensonge intéressé, l'hilarité de Lacenaire a peine à se contenir – (battre comtois)
  • Je suis au vague, me dit-il (sur le pavé)." Je lui payai un petit dîner – (au vague)
  • À quelques jours de là, il arriva chez moi ; il avait une volaille sous le bras : « Voilà de quoi faire le pot-bouille ; j'ai fait ça hier » – (pot-bouille)
  • elle affirme qu'Avril a proposé 2000 fr. pour buter une tante ; elle a appris que cela voulait dire couper le cou – (buter)
  • Oui, il existe des hommes pour qui l'assassinat n'est pas une dernière nécessité, pour lesquels l'assassinat n'est pas un accident, mais une affaire, une affaire comme les autres, une affaire qu'on propose – (affaire)
  • Nous allâmes voir Avril à Poissy, et j'allai au-devant de lui le jour de sa sortie. Il avait en effet 240 fr. en masse ; mais après quelques dettes payées il ne lui restait que 160 fr. – (12301)
  • Lacenaire, écoute ! j'irai à la mort, si l'on m'y condamne, mais j'irai sans effroi ; toi tu caponeras au moment de la mort, lâche ! – (caponner)

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