Annonce amicale : 30 jours pour jacter comme mézigue, de Sylvain Vanderesse, est paru.
Mots croisés et autres jeux à gogo.
Aux éditions de l'Opportun.
Citations relevées dans “Du rififi chez les hommes” (1955)
Cette page réunit toutes les citations relevées dans Du rififi chez les hommes, avec l'entrée qui y est attachée.
- C'est ton filleul qui m'écrase les pinceaux – (pinceau)
- Laisse tomber ces truffes – (truffe)
- –T'es pas poli ! –Ça te défrise ? – (défriser)
- Cinq ans de placard, ça marque son homme – (placard)
- Bravo ! Passer la nuit au flambe, dans la fumée, c'est ça qui t'arrange – (flambe)
- Tu me vois à la cambrousse avec de gros sabots – (cambrousse)
- amène-moi à ma piaule, je suis claqué – (claqué)
- Garçon, trois filtres – (filtre)
- si tu t'étais allongé aux poulets y a cinq ans – (s'allonger)
- Quand je pense que t'as tout pris sur ton dos parce que je n'étais qu'un gosse à l'époque – (prendre sur son dos)
- Rien que les trois cailloux qui sont dans la vitrine vont chercher dans les trente briques – (caillou)
- C'est là que Mado turbine, elle surveille les gonzesses – (turbiner)
- Son petit frangin se came je crois – (se camer)
- Vous, le nave, caltez ! – (nave)
- Vous, le nave, caltez ! – (calter)
- Combien tu l'as fourgué pendant que j'étais en cabane ? – (fourguer)
- Combien tu l'as fourgué pendant que j'étais en cabane ? – (cabane)
- C'est en mai que je me suis fait emballé – (emballé)
- Joli ce cabochon – (cabochon)
- T'as toujours su te défendre – (se défendre)
- Ôte cette bagouse et pose-la sur la table – (bagouse)
- C'est un coup fumant – (fumant)
- avec l'engin c'est les fayots à perpète – (perpète)
- avec l'engin, c'est le fayots à perpète – (engin)
- il marche ou il cane ? – (caner)
- faut se mouiller pour du solide – (du solide)
- Faut se mouiller pour du solide – (mouiller)
- la belle tatane sur mesure à 20000 balles la paire – (tatane)
- la vendeuse a les plus beaux roberts de tout Paris – (roberts)
- J'en fais mon affaire de ce pied – (pied)
- Excuse-le, il ne jacte pas le français – (jacter)
- C'est de plus en plus duraille de gagner sa croûte – (duraille)
- Même avec ce que nous piquera le Levantin on s'est pas mouillés pour des haricots – (pour des haricots)
- les diams sont pas encore bazardés, il peut y avoir un pépin avec la fourgue – (bazardé)
- les diams sont pas encore bazardés, il peut y avoir un pépin avec la fourgue – (pépin)
- les diams sont pas encore bazardés, il peut y avoir un pépin avec la fourgue – (fourgue)
- Tu as toujours ta fameuse planque ? On va placarder la marchandise ici – (planque)
- Tu as toujours ta fameuse planque ? On va placarder la marchandise ici – (placarder)
- Ils ont la dent dure, mais ça y est, c'est conclu – (avoir la dent dure)
- On offre dix briques pour un tuyau sur le casse de la bijouterie. Pffff, ça veut dire qu'il nage – (nager)
- Faut que tu me lessives le Stéphanois – (lessiver)
- Le gonze qu'est en cheville avec le Stéphanois – (en cheville)
- –et ton commissaire est tombé pile, c'est comme s'il nous apportait dix unités sur le plateau. –Dix millions ? – (unité)
- Je comprends rien à toutes vos salades – (salade)
- Tu comprends pas que ton pauvre César s'est allongé – (s'allonger)
- on peut le crier sur les toits, faut pas que les flics soient au parfum – (au parfum)
- C'est pas le moment de caler – (caler)
- C'est pas le moment de caler ; on va les faire marron – (faire marron)
- il a besoin de came, il miaule, faut que tu lui en portes – (miauler)
- –Où est le gosse ? –Le Stéphanois nous a doublés, il est parti avec – (doubler)
- Tant mieux si les héros sont fatigués. Moi, ce matin, je me sens d'attaque – (d'attaque)
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