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Citations relevées dans “L'Insurgé (Jacques Vingtras - III)” (1886)

Cette page réunit toutes les citations relevées dans L'Insurgé (Jacques Vingtras - III), avec l'entrée qui y est attachée.

  • recroise là-dessus sa redingote – ramassée dans l'armoire du mort et arrangée pour sa taille, à la papa – (à la papa)
  • moyennant quelques sous, je bois du cidre qui a une belle couleur d'or et me pique un brin le nez – (se piquer le nez)
  • et s'y abrutissent à boire de la bière, à siroter des glorias, et à caleçonner des pipes. – (siroter)
  • Les cagots de la Faculté, le proviseur et l'aumônier du collège ont décidé que je sauterais – (sauter)
  • Je me recouche, désolé que le boucan soit fini – (boucan)
  • dans une mairie qui est au diable et qui a l'air d'une bicoque – (bicoque)
  • mon copain n'a pas rechigné, ni ronchonné – (ronchonner)
  • Un jour, un de ces pochards a refusé de cracher au bassinet et a voulu la battre ; elle a appelé au secours – (cracher au bassin)
  • Je l'ai poussé jusqu'à la porte de l'allée, que j'ai refermée sur lui, et contre laquelle il a cogné plus d'un quart d'heure, en criant : « Viens-y donc, le mangeur de blanc » – (mangeur de blanc)
  • Mais ça mord, votre copie, cher monsieur ! – (mordre)
  • Tiens, tiens ! vous pelotez donc la dame de pique ? Est-ce que vous tirez à cinq ? – (peloter la dame de pique)
  • C'est le grand prix, mais votre article a du chien ! – (chien)
  • Il y aura du monde. Les vieilles barbes de 1848 seront là – (vieille barbe)
  • qui, venus exprès, restent pour voir comment je m'en tirerai, et dans l'espoir que je ferai four ou scandale – (four)
  • je m'en vais leur dégoiser tout ce qui m'étouffe ! – (dégoiser)
  • Le voilà qui pisse de l'oeil parce qu'il ne peut pas faire d'articles sur la Sociale, dans la boîte à Girardin – (pisser de l'oeil)
  • Le voilà qui pisse de l'oeil parce qu'il ne peut pas faire d'articles sur la Sociale, dans la boîte à Girardin – (boîte)
  • le vagabond et l'inconnu d'hier a du rata dans sa gamelle, avec un brin de laurier – (rata)
  • Le bouquin va de l'avant, le môme a vraiment du sang, et l'on trinque à sa santé dans les cafés – (bouquin)
  • Les sans-le sou ont reconnu un des leurs – (sans le sou)
  • J'ai pourtant vu des menottes câliner ce visage-là – (menotte)
  • un soldat à panache et à trois galons d'or, qui a déjà repassé sa flamberge – (flamberge)
  • Peut-être même n'a-t-il jamais songé à aiguiser son bancal – (bancal)
  • Si un des gagistes ne fait pas l'affaire, il lui flanque son sac devant le public, à la parade – (avoir son sac)
  • vous les avez conduits à la Morgue et au Champ-des-Navets – (champ de navets)
  • Paris lui doit, à ce patapouf, un regain de gaieté et d'ironie – (patapouf)
  • je faisais des stations de deux heures en guettant les richards – (richard)
  • j'ai rincé le bec à des chevaliers d'industrie – (rincer le bec)
  • Ah ! j'ai bien fait de naître Auverpin ! – (Auverpin)
  • il espionne la nature, moucharde ses héros, et vous livre des dossiers empoignants – (moucharder)
  • sous le nez des cipaux de marbre qui montent la garde dans les musées – (cipal)
  • la blague ayant toujours sa cible sérieuse et devant, sans cesse, aller écorcher le nez pif de Badinguet aux Tuileries ! – (pif)
  • il faudrait un cautionnement pour pouvoir jaboter politique – (jaboter)
  • Il a lu que Danton, avant d'éternuer dans le son, déclara qu'il ne regrettait pas la vie – (éternuer dans le son)
  • ayant bien soiffé avec les buveurs, bien riboté avec les filles – (soiffer)
  • ayant bien soiffé avec les buveurs, bien riboté avec les filles – (riboter)
  • et il fait le soiffeur, le riboteur – (soiffeur)
  • et il fait le soiffeur, le riboteur – (riboteur)
  • qui a lâché Normale pour être secrétaire d'un gros bonnet de la Sorbonne, lequel a claqué et l'a laissé dans la panne – (panne)
  • avoir ton chalumeau de paille et ton droit au vin sur le radeau de Lachâtre ou de Larousse – (radeau)
  • Heureusement, j'ai mon ardoise chez Laveur, le père nourricier de quelques jeunes – (ardoise)
  • comme Apelles, ce vieux birbe, peignit la rage ! – (birbe)
  • On a fait la noce un brin, hier soir, entre camarades, avant de me conduire à Pélago – (Pélago)
  • J'ai écrit deux articles chez les autres […]. Les deux tartines m'ont valu la prison – (tartine)
  • beaucoup de ces crève-la-faim ont lu Proudhon et pesé Louis Blanc – (crève-la-faim)
  • Mais n'a-t-on pas dit de lui ce qu'on a dit de Ruault : qu'il était de la rousse ? – (rousse)
  • Elle le prendrait par les moustaches et nous l'amènerait, toute petiote qu'elle soit – (petiot)
  • malade des canons pris sur le zinc pour trinquer avec les braves gens – (canon)
  • Aller exposer Bibi sans qu'on sache de quoi il retourne ? – (bibi)
  • et assez convaincus pour aller vous faire casser la margoulette – (margoulette)
  • Cette ficelle ne me va pas, je devine le pantin qui est au bout – (ficelle)
  • Mais le frémissement de la lèvre trahit les ardeurs du convaincu, et le « prenant » de la voix dénonce l'âme de ce porteur de riflard – (riflard)
  • Il monte gravement les marches de l'escalier, riboulant des prunelles – (ribouler des prunelles)
  • Si tu mets un faux-col, je te mettrai une cravate de chanvre – (cravate de chanvre)
  • Il lichotte le couteau de la guillotine avec sa langue – (lichoter)
  • Mince de rigolade ! – (mince !)
  • Un ancien mouchard dégommé – (dégommé)
  • C'est bien un copain qui a étrenné – (étrenner)
  • Les taffeurs au centre ! – (taffeur)
  • Les traditionnels de la colonne se demandent pourquoi ces binoclards « s'érigent en chefs ? » – (binoclard)
  • On a dîné ensemble chez le mastroquet – (mastroquet)
  • trop heureux qu'hier il n'y ait pas eu de grabuge – (grabuge)
  • des barbes de 48 – (barbe)
  • C'était beaucoup d'honneur, mais quelle dégelée ! – (dégelée)
  • mais vous êtes un gaillard que je gobe, un gaillard qui me va ! – (gober)
  • Eh ! l'estropié, rentrez donc vos ailerons ! – (aileron)
  • Une fois mon bachot en poche, j'ai voulu faire mon droit – (bachot)
  • Confiant dans ma réputation de fort en thème, j'ai couru les bahuts.. – (bahut)
  • Et le paillasse de dévider son boniment – (paillasse)
  • Et le paillasse de dévider son boniment – (dévider)
  • Les ouvriers, qui ont mis leurs frusques neuves – (frusque)
  • je levais mon chapeau, on me l'a renfoncé sur les yeux et on m'a cloué le bec – (clouer le bec)
  • C'est qu'on ne s'est pas collé grand-chose dans le fusil, depuis deux jours, et l'on a beaucoup crié : ça creuse ! – (se coller qqchose dans le fusil)
  • demandent les enfants du chand de vin – (chand de vin)
  • On est venu au rendez-vous, petons au vent – (peton)
  • le général qui fut marchef pour tout potage – (marchef)
  • un lieutenant qui a été mon compagnon dans la vie de misère, avec qui nous avons mangé de la vache enragée – (bouffer de la vache enragée)
  • Peut-être vais-je être cueilli avant d'avoir mangé mon omelette – (cueilli)
  • Être pris en ce moment et coffré, ce serait peut-être la transportation à bref délai – (coffré)
  • dans le gras-double des bourgeois, avec la fourchette à une dent qui est au bout de leur flingot – (fourchette à une dent)
  • J'aimerais mieux me faire sauter le caisson que de signer – (se faire sauter le caisson)
  • un petit boulot qui paraît très animé et élève le ton – (boulot)
  • aidez les camarades s'ils sont dans le pétrin – (pétrin)
  • j'en ai mon sac ! Que c'est embêtant d'être ministre ! – (en avoir son sac)
  • iraient sauter sur les rédacteurs et les fusilleraient d'autor et d'achar.. – (d'autor)
  • iraient sauter sur les rédacteurs et les fusilleraient d'autor et d'achar.. – (achar)
  • Il a lampé une autre lichée – (lamper)
  • Il a lampé une autre lichée – (lichée)
  • Avez-vous vu le passage où je demande que tous les enfants aient leur chopine dès quinze ans – (8745)
  • j'ai toujours gagné assez pour boire mon litre, et prendre mon café avec la consolation ! – (consolation)
  • hideux dans son costume bleu de ciel, un turco, l'ordonnance de Lisbonne – (turco)
  • Par ici le canon, François ! Femme, mets là les dragées ! – (dragée)
  • Quoique, cependant, crever d'un dernier gnon donné par un copain, au coin d'un mur, ce ne soit pas précisément gai ! – (gnon)
  • je suis prisonnier de tous ces bataillons qui arrivent, et dont les gradés veulent serrer la pince – (serrer la pince)
  • Il n'y a eu cependant de tué, à ma connaissance, que le mitron – (mitron)
  • Ah ! les gueux ! ils ont trouvé le joint… – (joint)
  • se jeter sur le Panthéon comme sur un réac – (réac)
  • Il n'a pas ménagé le boursicot de la République pour avoir raison des républicains – (boursicot)
  • Qu'on m'indique encore un coin où il y a à canarder, et j'y vais ! – (canarder)
  • De temps en temps, une tête fait Guignol sur une balustrade – (faire Guignol)
  • Voyez, j'ai là quinze entamés. Vous passerez pour le médecin – (entamé)
  • Nous trottons sur le velours maintenant… – (velours)
  • Nous sommes en République depuis six heures ; « en République de paix et de concorde ». J'ai voulu la qualifier de Sociale, je levais mon chapeau, on me l'a renfoncé sur les yeux et on m'a cloué le bec. –Pas encore !… Laissez pleurer le mouton ! – (laisser pleurer le mouton)
  • En route, un homme a voulu attaquer un des sapins. On s'est jeté sur lui. –À bas le bonaparteux ! –Je suis garçon de café, a-t-il dit. Il y en a deux, dans cette voiture, qui me doivent des cigares et des roues de derrière. – (bonaparteux)
  • En route, un homme a voulu attaquer un des sapins. On s'est jeté sur lui. –À bas le bonaparteux ! –Je suis garçon de café, a-t-il dit. Il y en a deux, dans cette voiture, qui me doivent des cigares et des roues de derrière. – (roue de derrière)

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