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Citation n°109022

Fini le carnage, l'armistice est signé, les fayots n'auront pas eu ma peau. L'ultime communiqué a mis Toulon en folie, et ça m'en bouche un coin. […] À un ouvrier du port qui m'a arrêté pour m'offrir l'apéritif, je dis : –Vous ne réfléchissez donc pas, les Mokos ? Vous vous figurez peut-être qu'on vous donnera encore des escadres à exploiter ? Non, mon vieux, tu ne contempleras plus de gros-culs dans ta rade, les gros-culs iront à la ferraille, et les fayots iront se faire foutre. Plus de gros-culs, plus d'arsenal, plus de Toulon !

bob: 31566, 67597 source: 4062