Parano, adj. et subst. Abrév. fam. de paranoïaque. Pour qui n'a pas ressenti d'oppression particulière en empruntant le R.E.R., je dois paraître un peu parano (Le Point, 26 juill. 1973 ds Gilb. 1980). (tlfi:parano)
- parano n.f. abrév. de paranoïa non conv. ARG. DROGUE ARG. MÉD. - DMC, cit. Bensoussan, 1974 ; absent TLF, GR[92].
- av. 1971 - «[Parano [...] paranoïa [...] angoisse, psychose créées principalement par la drogue [...] psychiatres, drogués, av. 1971 [...] faire une parano] [...]» In Les Mots en liberté, numéro 10, 10 (1975) - K.G.
- parano n.f. abrév. de paranoïa non conv. CARACT. "comportement méfiant et angoissé" - GR[92], v. 1970 ; TLF, cit. M. Cerf, 1981.
- 1972 - «Il y a des mauvaises langues qui nous racontent qu'Alain Geismar [...] s'en va régulièrement fleurir la tombe de Pierrot ; (mais toujours en pleine nuit, pour cultiver sa parano) [...]» Bley, Lâche ton cul camarade, 50, numéro 1 (Pauvert) - K.G.
- parano adj. abrév. de paranoïaque non conv. ARG. DROGUE ARG. MÉD. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].sens étendu : GR[92], v. 1970 ; DMC, TLF, cit. Le Point, 1973.
- av. 1971 - «[Parano [...] paranoïaque [...] psychiatres, drogués, av. 1971 ; [...] être parano] [...]» In Les Mots en liberté, numéro 10, 10 (1975) - K.G.
- 1975 - «Le plus bas degré de la déprime est le 'superflip' parano.» Beauvais, Le Français kiskose, 73 (Fayard) - K.G.
- parano n. abrév. de paranoïaque non conv. CARACT. "personne méfiante et angoissée" - GR[92], v. 1970, TLF, ø d.
- 1972 - «[...] les paranos, les mythomanes, les boulimiques, les exhibitionnistes [...]» Bley, Lâche ton cul camarade, 91 (Pauvert) - K.G. (bhvf:parano)